NOM(S) & PRÉNOM(S) ৩ calliope anna blackwell ÂGE ৩ 21 ans DATE & LIEU DE NAISSANCE ৩ 17 octobre 1980, Oxford STATUT CIVIL ৩ célibataire ( a évoluer en rp, mérite d'être aimée * sors * ) MÉTIER OU ETUDES ৩ Etudiante en art appliqué GROUPE ৩ full of courtesy, full of craft AVATAR ৩ Candice Accola

ce qu'il y a de bon en moi,


Souriante


Travailleuse


Douée de ses mains


Propre sur elle


Surprenante



mais aussi de mauvais.

Emotive


Trop sage


Coincée ( quand elle est sobre )


Névrosée


Stressée

« give i everything »

Extrait du journal de Callie, écrit l'année de ces 16 ans ღ Je viens de vivre l'une des journées les plus désarmantes de toute ma vie. Je me demande comment tout a put tourner ainsi. C'est dingue la vie et ça craint. J'avais pourtant décider que tout irait bien, mais je n'ai eu de contrôle sur rien. Quand j'ai étais le voir, il était comme toujours entourer de tout ses amis, mais ça ne m'a pas stopper. Je l'ai interpeller sous le regard médusé des autres et je lui ai dit de me suivre. Il n'a pas dit non, cela m'a mit en confiance. Durant quelques instants j'ai crut que c'était dans la poche, je n'ai même pas imaginer que cela aurait put tourner au drame. Comme on dit : trop bon, trop con. Je suis une bécasse. On est monter tout les deux a l'étage, je voulais lui dire ce que je ressentais mais finalement j'ai décider d'être plus directe ce qui est plutôt dans mes habitudes quand j'essaye de cesser de tourner autour du pot. J'ai enrouler mes bras autour de son cou et j'ai plaquer mes lèvres contre les siennes. Je n'aurais jamais crut pouvoir retomber amoureuse après tu sais qui, mais si, j'étais folle d'Adam. Ses yeux glacier m'hypnotisaient, j'ai passer mes mains sous son tee shirt alors que ses prunelles ne me quittaient pas un seul instant. Bordel, ce que j'aime qu'il me regarde. Puis cette scène tout droit sortie de mon rêve de la nuit dernière a tourner au cauchemar. J'ai commencer par avoir chaud ( ok, ça n'a rien a voir, mais cela a été le début de tout ). J'ai regretter de ne pas avoir jeter sur mon châle par la même occasion lorsque je m'étais moi même, volontairement, jetée sur lui. Mon coeur battait a tout rompre et la laine crème me grattait le col. Mais je n'avais pas la place de l'enlever, mon corps étant collé a celui d'Adam. J'avais trop peur de m'éloigner de lui, cela aurait tout gâcher. Il me tenait désormais par la taille et caressait le bas de mon dos tout en se collant, me chuchotant des choses a l'oreille que je ne parvenais même pas a comprendre tant j'étais prise dans le feu de l'action. Il a attraper le bas de ma robe, il commença a la soulever. Je crut qu'il voulait juste rire, mais ce n'est pas le genre de mec qui rit avec ça. Il m'ôtait bien ma robe dans un couloir qui risquait de se remplir de gens dans les prochaines minutes. Heureusement j'en portais une a corset et il fut rapidement embêté. Lâchant son cou sans pour autant détacher mes lèvres de sa beau fraîche et rasée, je tira ma robe vers le bas, luttant contre ses mains viriles qui s'entêtaient a la soulever. Il lâcha prise pour plaquer ses mains sur mes fesses, ces baisers devenaient si fort, si intenses que j'aurais jurer sentir ma peau brûler. Je commençais a avoir mal. D'un geste il détacha mes cheveux qui tombèrent en cascade blonde sur mes épaules. Il me retira ensuite mon châle, acte qui aurait put m'arranger, mais désormais j'avais plus envie de filer blottie dans mon châle. Adam n'était plus tendre, si il continuait, il aurait eu l'agressivité d'un monstre décidé a me manger toute crue. Je plaqua mes mains contre le mur peint et poussa pour me décoller de lui sans réussite. " Adam, arrête, Adam ! " Il laissa échapper un grognement qui me permit de m'éloigner, profitant du fait que ses bras se détendent, me laissant respirer avec plus de facilité que quelques secondes auparavant. Je tira violemment ma robe en jetant des regards autour de moi et en recoiffant tant bien que mal ma chevelure. Je ne pouvais m'empêcher de lancer des regards en biais a Adam qui me dévisageait. Comme si c'était ma faute si il avait tenter de me déshabiller ici, dans ce lieu public ou tout le monde me connaissait très bien.
C'était trop simple, il s'approcha a nouveau et je le repoussa mais il était beaucoup plus fort et plaqua violemment sa bouche contre la mienne, je ne le reconnaissais pas. J'avais été débile. Débile de vouloir faire ma maligne, débile de tomber amoureuse du mec qui faisait baver tout le monde. Un salaud. Voila ce dont j'étais amoureuse. Mais revenons en au pire dans cette situation délirante, une fille arriva soudain. Elle avait ma taille et une chevelure flamboyante, elle portait un short haut qui soulignait son ventre parfaitement plat. Elle s'approcha de nous et Adam recula, justement a temps pour éviter la gifle qu'elle me donna de plein fouet. A ce que j'ai compris c'était sa copine. Elle avait alors crier sur lieu alors que je me frottais la joue en la fusillant du regard, serrant les dents pour retenir une larme qui menaçait de couler sur ma joue et ainsi de me faire passer pour la pire des godiches. Ensuite elle lui a rouler une pelle. Devant moi. Cinq minutes après qu'il m'ait plaquer contre le mur pour embrasser chaque partie de mon corps, ou du moins celles auxquelles il avait put avoir accès. J'ai regarder la scène, puis constatant combien c'était nul je suis partie, j'ai manquer de louper la marche et de m'effondrer dans les escaliers et j'ai rejoins ma classe en refaisant ma queue de cheval, me risquant a quelques larmes alors que j'arpentais les couloirs bondés.

« TU FAIS N'IMPORTE QUOI ON DIRAIT QUE T'AIMES ça »

Page d'intro' ღ J'ai jamais tenu de journal intime avant, mais j'avais envie de m'y mettre, c'est maintenant chose faite. J'imagine que sur la première page il faut se présenter ? ... Et bien je vais le faire, quitte a commencer mon premier journal, autant bien le faire. Je m'appelle Calliope et j'ai 9 ans. Je vis avec mes parents et ma soeur jumelle et aujourd'hui, c'est mon anniversaire. Le notre, avec Cassie. J'ai bien vu le regard qu'elle a jeter a mon cadeau quand maman me l'a offert. Elle ne voit pas d'intérêt a coucher tout ce qui se passe dans notre vie sur papier. C'est ma soeur, elle est sensée me comprendre mieux que n'importe qui et c'est pourtant la personne sur terre dont je me sens la plus proche et a la fois la plus éloignée au monde. C'est très étrange comme sentiment et pourtant c'est ainsi que je ressent les choses. Mais je l'adore, comme j'aime papa et maman. J'aimerais juste qu'elle me comprenne, qu'elle voit de l'intérêt en tout ce qui en a pour moi. Pour cela il faudrait aussi que je fasse de même, je sais que ce n'est pas le genre de chose qui doit fonctionner a sens unique. Mais cela reste difficile. J'espère que cela s'arrangera plus tard. J'espère qu'on sera meilleure amie quand on sera grande. Je veux être la meilleure amie de ma soeur. Et je pense que cela arrivera un jour, dans le fond, faudrait juste que j'arrête un peu d'y penser, mais comment étant donné que je passe la plus part de mon temps avec elle ? Et je ne peux pas ignorer ma relation avec ma jumelle, c'est sûrement une des relations les plus précieuses au monde ! ... Et voila, je recommence, je réfléchis trop. Il me fallait vraiment un journal. Ou j'en était sinon ? ... Oh, j'ai perdu le fil, quelle gourde. Je parlais de Cassie, j'espère que ça va s'arranger, je l'adore, dans le fond je sais que c'est réciproque. Mais j'en ai marre d'être repoussée. Parfois je suis jalouse de Liam. C'est le garçon que maman et papa ont adopter car maman ne réussissait pas a avoir d'enfants. C'était avant moi et Cassie, mais cela nous a offert un beau cadeau en la personne de Liam donc. Il est gentil, cela me change de Cassie. Je ne la comprend pas. Pas du tout. J'aimerais savoir pourquoi elle me déteste alors que je suis sûre de ne jamais lui avoir fait du mal. Voila, tu connais tout de moi, première page finie ! Je suis faite pour écrire un journal, même si j'ai l'impression que je m'égare parfois...Personne n'est parfait,non ?
Cher journal ღ , rien ne va en ce moment. Rien du tout. J'ai treize ans et déjà le sentiment de vivre un enfer sans nom. L'hostilité avec Cassie redescend doucement, c'est le seul point positif, car malgré cette amélioration, j'ai de nouvelles raisons de fuir la maison. Nous en avons tout les trois : moi, Cassie et Liam. J'ai peur que nos parents se séparent. Vraiment. J'ai toujours peur de passer le pas de la porte car j'ai toujours l'intime conviction qu'ils sont en train de se disputer. J'ai envie d'en parler, mais a qui ? Je ne suis pas encore suffisamment proche de ma soeur. Il n'y a rien a faire, juste a attendre mais en attendant j'ai mal. Très mal et je ne sais pas quoi faire pour apaiser cette continuelle douleur qui me pèse sur le coeur. Et il y a les garçons. On me regarde, on me dévisage. Je sais que je ne suis pas la fille la plus dégoûtante du monde, il suffit de voir comment les garçons gravitent autour de Cassie, hors on se ressemble, c'est indéniable. Sauf qu'elle est ouverte, elle rit avec les garçons, de ce rire franc et plein d'assurance qui me créer une boule au ventre. Dans le fond je suis sûrement jalouse d'elle. Moi aussi j'ai des amies, des filles. Je sais qu'on me prend pour une sainte-nitouche affreusement coincée et ennuyeuse a côté d'une soeur si pétillante et bavarde. Les garçons m'approchent plus difficilement, sans cesse entourée de mes amies, je reste assise, mes escarpins a talons au pied, dans des robes a corset qui soulignent la finesse de ma silhouette, mes cheveux blonds ondulant au vent, attachés par un élastique en queue de cheval. Peut être que je devrais lâcher mes cheveux, piquer un des shorts de Liam et courir avec les mecs en faisant comme si c'était naturel, gravé en moi. Mais je ne suis pas ainsi. Ce n'est pas moi. Dans le fond il y a des avantages a être Callie et non Cassie, les parents ne me prennent jamais la tête contrairement a ma soeur ( comme si la voix ne montait pas suffisamment dans la maison en ce moment ) car en cours je suis plutôt douée. Je travaille, il faut bien le dire, mais je ne suis pas une première de la classe ennuyante a mourir ou une blonde belle mais froide dans ses jupons. Non. Il suffit de me voir avec un verre dans le nez, l'alcool suffit a délier ma langue, mais j'ai toujours peur de perdre le contrôle. On dit de moi que je suis névrosée. Je ne vais pas mentir : c'est un peu ( beaucoup ) le cas. Mais je suis plus qu'une fille minutieuse a un point dépassant l'entendement. Cependant je ne suis pas sûre d'être en mesure de lutter contre les préjugés qui me désignent, me dessinent, a travers les a travers les yeux des autres.
HALLELUJAH cher journal ! ღ Ok, ok, je me calme, mais rien ne pouvait me faire plus plaisir que ce qui est en train de se dérouler sous mes yeux. Depuis que j'ai commencer a écrire, je te parle de Callie, de notre relation orageuse, et je te disais que j'aurais aimer être son amie ... J'ai la fierté de t'annoncer que c'est en bonne voix ! Après 15 ans, c'est quand même pas trop tôt, mais je m'en fiche, car aujourd'hui je sais que c'est derrière nous. Sans que je comprenne vraiment pourquoi, on s'est rapprocher, peut être que c'est les histoires des parents, j'en sais rien et je crois que je m'en fiche. Ce qui m'importe c'est que Callie ne me renvoie plus dans mes buts dès que j'ai le malheur d'ouvrir la bouche pour lui parler. On devient même complices toutes les deux, j'avais déjà eu ce type de beaux moments avec elle mais ils étaient si rares que je n'y croyais même plus, ils devenaient des souvenirs flous que j'apparentais avec désolation a des rêves imagés. Je n'avais plus envie de croire en le fameux lien si " fort " des soeurs jumelles, et bien je commence vraiment a retrouver foie en toutes ces histoires. Plus que jamais, je me sens proche de ma soeur, de Liam aussi dans un sens, même si on a toujours eu d'excellents rapports tout les deux, c'est mon grand frère, et je l'adore. Cela ne changera jamais. Cela n'a jamais compter qu'on n'ai pas de liens de sang, je ne l'ai jamais vu comme un étranger, plutôt comme un doux confident qui pourrait toujours m'aider a apprivoiser les garçons. C'est tellement bon d'avoir un frère. D'avoir une soeur, car je peux qualifier dignement Cassie de jumelle, et non d'ennemie jurée. Et cela me soulage, a un point impressionnant. J'ai besoin de son soutien, de lui parler, de leur parler. Ils sont ce que j'ai de plus précieux. Je ne peux parler a maman ou papa de peur de les pousser a bout, la peur qu'ils se séparent ne m'a pas lâcher, mais ce serait peut être mieux que de se sentir les larmes perlaient sur mes joues, tout les soirs, quand je les entend se disputer encore, toujours, dans leur chambre. Liam et Cassie empêchent mes nerfs de lâcher. Je me concentre sur eux, sur mes amies, sur mes cours. Et il y a l'art. Au fil des années, je me suis découverte un réel talent : j'ai un très bon coup de crayon : je suis capable de croquer sur mes innombrables carnets a dessin tout est n'importe quoi. Cela me détend et j'adore ça. J'aime le crissement du crayon sur la feuille, la fluidité de la couleur quand je l'étale avec douceur sur mes crayonnés, j'aime la fierté qui m'emplit le coeur quand comme toujours je signe mes oeuvres d'un petit " Callie " a l'encre noire. J'ai décidé de faire de cette passion ma vie. Je deviendrais une artiste populaire, je me le promets, je te le promet, je le promet a tout le monde sur cette terre. Juré.
Inauguration ... * roulement de tambours * de mon nouveau journal ! ღ Je suis dé-so-lée d'avoir oublier l'ancien dans ma chambre de jeune fille ( j'adore dire ça, cela me fait réaliser combien j'ai grandis et continue de le faire chaque jour ). Je me disais bien que je le cachais trop bien sous la latte branlante de mon armoire. Peut être qu'un jour mes petits enfants ceux de Liam ou ceux de Cassie le trouveront et... ce sera la honte de ma vie ! En attendant, mon petit carnet a la couverture en velours émeraude et sous le bois, fermé jusqu'à ce que je trouve l'occasion de le récupérer. Mais je suis une accro'. Mon journal, c'est comme mes pastels et mes croquis : je ne peux pas m'en passer. Ainsi j'ai réussi a faire s'arrêter Liam en cours de chemin pour t'acheter. Mon second journal. En velours rouge cette fois ci ! Il parait que c'est la couleur du renouveau, cela ne pourra donc me faire aucun mal ! Aujourd'hui, on part de la maison familial ! Bon, c'était déjà fait pour Liam, mais il est revenu sur ses traces pour nous. Enfin, surtout pour Cassie. Elle déraille en ce moment, elle boit, elle fume, je ne la comprends plus. Je lui fais la morale, elle me dit que je suis une rabas-joie, qu'elle n'a pas besoin d'une seconde mère. Elle ne comprend pas je m'en fais pour elle car je l'aime, tout comme Liam. C'est ma soeur, je ne la laisserais pas sombrer bêtement, même si pour cela, on en vient a se disputer comme avant. J'accepte cela car je tiens a elle, j'espère qu'elle le sait. Liam l'aide beaucoup, l'apaise, parfois je me sens totalement gauche et inutile a côté de lui. Il me délaisse un peu, mais je sais que c'est toujours mon grand frère, il n'a jamais cessé de l'être. Je l'aime et lui fais confiance pour aider ma soeur, notre soeur, car j'ai beau essayer, je sais qu'il est plus douer que moi pour cela, même si c'est douloureux a dire. Parfois je pense que c'est a moi que ma soeur devrait parler de tout cela, mais c'est égoïste. Ma jalousie ressort. Il faut que j'arrêtes. De toute façon ce qui m'importe le plus, c'est le bien être de Liam et Cassie. Si ils sont heureux, alors moi aussi, point. C'est bien ainsi ! Vraiment.
Bonjour, cher journal, ღ désolée, je te délaisse, mais si tu savais... Ma vie devient une pure folie, mais j'aime ce rythme. Je dors, je mange, je bois, je dessine, j'étudie mes courts d'arts, je dors, je sors et ça recommence ! Voila ma vie, maintenant ! De la folie, je te l'avais bien dit ! J'adore cela, je ne perds plus une seconde, je fonce, mais ne croyez pas que tout est rose. Je suis sans cesse sur le campus et je fais une vraie cuve de coffee bean, faudrait sérieusement que je décroche... Enfin, je fais avec ! Et puis il y a Cassie et Liam, il se trame un truc entre ces deux la, mais ma soeur est encore bouleversée, je me tais donc, et puis j'ai tant de choses a gérer... Mes cheveux ressemblent a rien, je n'ai plus de gouache rose pour mon dernier projet d'art et je dois a tout prix passer chercher la robe que j'ai fait mettre de côté au magasin toshop près de la fac. Et il y a les garçons, encore et toujours... Bon, c'est bien beau d'écrire mais mon bus vient de me passer devant... Merde merde merde ! Décidément la voiture de Liam me manque vraiment parfois ! Il m'attend pas ce crétin, je dois courir et je vais essayer d'éviter de te faire tomber sur la route... Foutus escarpins, vite !.. * bus raté *