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Il ouvre ses prunelles avec un léger mal de crâne, s'était ça de s'endormir devant son bureau surtout devant son travail, Maxence bouge sa nuque endolorie de droite à gauche, s'étire en lâchant un léger soupire au passage. Retirant ses lunettes et les posant sur son bureau l'anglais se lèves sentant tous ses os de ses jambes craqués. Il trouve judicieux de s'étirer de nouveau et de se faufilé sous le jet d'eau chaude qui l'attend ne prenant pas la peine de regarder l'heure, sinon il se serait couché. Sortant de la douche propre et ensuite en serviette pour s'habiller sans prendre soin de faire attention ce qu'il enfile. L'estomac dans les talons il se dirige devant son réfrigérateur vide, il se gratte le sommet de son crâne en se disant que son travail lui avait bien pris plus de temps.
Obligé donc de sortir alors que le jour ne s'était pas levé l'anglais prend alors son long manteau noir et quitte les lieux après avoir récupéré ses lunettes de vues puisqu'il allait le lire le journal devant une bonne tasse de café au lait et une viennoiseries française ou des pancakes.
Journal en main, lunettes sur le nez, il lit les quelques lignes en évitant les quelques gens qui se trouvaient sur son chemin, ils se faisaient rare aussi tôt dans la journée. Et Maxence malgré l'obscurité arrivait à lire entre les lignes, arrivé au café il fut heureux de recevoir la chaleur conviviale et l'odeur du lieu. Rangeant son journal sous le bras et rangeant ses lunettes dans l'une de ses poches dans la petite boite. Son regard vagabonde sur les personnes insomniaque ou tombés du lit. C'est là que son regard tombe sur la ravissante Anaya, maitresse d'école, magnifique jeune femme qui aime son boulot. Il l'a rencontré par hasard, a sympathiser, l'a invité à dîner, ne lui a rien fait. C'est Maxence trop compliqué pour comprendre ce qu'il se trama dans son cerveau d'anglais. Il a bien remarqué qu'elle l'apprécie, il est doué pour remarquer ce qu'on veut lui cacher. Il s'avance vers sa table. «Bonjour » dit il avec son sourire amicale et chaleureux. « Je peux? » il pose son regard sur elle qui ne refusera pas qu'il s'assoit avec elle. Ne disant pas un mot de plus, parfois bavard et d'autre non tout dépend aussi de son interlocuteur. « Vous êtes tombés du lit? » il parle de cette manière a faire tombé par terre, son regard en est troublant et son sourire fascinant. Il attend la réponse de cette beauté divine,il pourrait très bien l'invité un soir et comblé les atteinte de la demoiselle mais, est elle prête à entretenir une liaison avec un homme aussi compliqué que Maxence. Elle finira pas le fuir une fois qu'elle le connaisse mieux. Qu'elle devienne et reste son amie, c'est mieux ainsi.

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Il lui arrive très fréquemment de s'endormir sur sa chaise de bureau, elle doit être son second lit ce qui explique le « luxe » de cette dernière. Confortable, elle est faite pour toutes personnes qui passent leurs journées devant l'ordinateur et même leur nuit. Surtout à cette période où il en est dans son travail. Le moment de rédiger, de faire le reportage... Quoiqu'il en soit parfois ses yeux ce ferment et il rejoint les bras de Morphée pour se réveiller le lendemain la nuque endolorie et trop tôt. Comme ce matin-là, où il marche avec nonchalance jusqu'au café du coin car son frigo ne fait pas les courses lui même. Quel dommage cela serait tellement plus pratique surtout pour le jeune anglais, qui a cette manie d'oublier d'aller remplir son réfrigérateur et ses placards. A croire qu'il mange si peu, il a tendance à négliger cette partie là, la nourriture et le sommeil...Quoiqu'il en soit le voilà dans le sublime petit café de Middleton Hill, et c'est en ce lieuqu'il croise un visage familier, Anaya. Une mine embrumée comme toute personne qui est debout à cette heure-si, il décide d'aller la saluer car il l'apprécie particulièrement bien cette jeune femme. Institutrice pour enfant, il l'a rencontrer pour la première en allant cherché la fille d'un proche à lui. Leurs relations auraient bien plus évolué si Maxence faisait partie des gens normaux. Mais ce n'est pas le cas, il est dans la catégorie des gens impossibles à cerner, qu'on aime ou qu'on déteste. Il n'y a pas d'entre deux. Anaaya doit faire partie de ces personnes qui l'aiment un peu trop mais en reste muet sur la raison. Il remarque les regards qu'elle lui offre, peut-être s'il était plus censé d'esprit il l'aurait déjà montré là où il habitait.
Elle répond à son salue d'un large sourire, le genre de sourire qui à le don d'illuminer la journée d'un pauvre homme. Anaya est une belle et merveilleuse femme, Maxence doit peut-être s'enlever l'image de l'institutrice douce et aimable de la tête mais à quoi bon? Est il prêt à entamer une relation? Ou préfère t'il rester dans sa solitude complète en relation amoureuse? C'est un sujet qu'il doit précisément approfondir avant toute chose. « Je me lève toujours trop tôt pour allée travailler. Vous aussi vous êtes tombé du lit pour être là à cette heure ? » il lui affiche un léger sourire doux et aimable. « Plus précisément de ma chaise. » mauvaise plaisanterie matinale, ses lèvres d'élargie d'un sourire amusé. « Disons que oui. » il pose ses prunelles sur le livre qu'elle lisait lorsqu'elle se met à le ranger. Une serveuse vient à leur rencontre. « Puis-je vous servir quelque chose monsieur? » Maxence lève ses prunelles vers le petit bout de femme et lui fait sa commande. « un café au lait s'il vous plait. » elle note et se retire avec un petit sourire. . « Vous pouvez finir les croissants si vous voulez. De toute façon je n'en veux pas. » il la regarde amicalement. « Merci à vous. » il prend un croissant en ses doigts, croissant les prunelles de la brunette et sur sa main qui fait tourner son portable. Amusé par sa timidité Maxence s'apprête à lui dire quelques mots mais le café chaud se pointe devant son nez. « Merci. » service rapide, avec le peu de monde à cette heure si matinale, rien de plus normal. « Vous allez bien? » une question anodine pour la mettre mieux à l'aise peut-être? Il ne va pas l'aborder comme il parle avec Kathleen... Elle en resterait sans doute bouché bée. Il lui laisse le temps de répondre, qu'un autre petit silence s'installe. Il touille son café après avoir mis un sucre. « Les enfants ne vous tourmente pas trop? » simple plaisanterie il espère qu'elle comprendra. Il sirote dans sa boisson chaude qui lui brûle le gosier mais finira pas le stimuler et le réveiller. Bien qu'il soit à moitié éveillé cela ne lui empêche du tout d'articuler n'importe quelle réponse ou dialogue... Un don sans doute, peut-être que même en dormant il peut répondre... Il pose son regard sur son poignet pour y lire l'heure. « Vous partez travailler à quelle heure? » pour savoir le temps qu'il a pour profiter de sa présence. Lui la vouvoie toujours, sans doute qu'ils ne sont pas encore assez intime pour se tutoyer ou bien c'est elle qui la vouvoyer et il continu dans cette voie par respect.