NOM & PREOM(S)৩ SANCHEZ & LUCAS ELIAS ÂGE ৩ 24 ans DATE & LIEU DE NAISSANCE ৩ 20 janvier 1987, Madrid STATUT CIVIL ৩ Célibataire MÉTIER OU ETUDES ৩ Interne à l'hopital GROUPE ৩ The grass is always greener on the other side AVATAR ৩ Shiloh Fernandez

ce qu'il y a de bon en moi,


Franc

Disponible

Serieux

Protecteur


Joueur


mais aussi de mauvais.

Rancunier

Jaloux

Borné

Instable

Impatient

« give i everything »

Etre Lucas c'est hair son père, ne pas vraiment connaitre sa mère, avoir révé d'avoir une soeur et un frère, aimer les chiens et les chats mais détester les oiseaux, boire 5 cafés par jour, fumer comme un pompier, avoir touché a la drogue et n'en n'être pas fière. Etre Lucas, c'est aussi avoir des migraines à répétitions, adorer les séries américaines comme NCIS ou Mentalist mais détester Grey Anatomy parce que c'est irréaliste. Quand on est n'est comme Lucas, on aime pas vraiment la solitude, on connait toutes les répliques de ses films préférés, on parle aussi bien anglais qu'espagnol, on apprend a parler français parce qu'on aime cette langue, on pourrait se nourrir que des pates et de pizza, on dort que quelques heures par nuit... Mais Lucas, c'est aussi avoir travaillé dans un orphelinat, être complétement gaga devant un bébé, avoir quelques idées de prénoms toujours en tête, se réciter des paroles de chansons quand on veut penser à autre chose, avoir beaucoup joué au scrabble étant petit, être toujours aussi touché de voir des malades mais ne jamais le reconnaitre...

« once upon a time »

"C'est un garçon ! Félicitation Mr.Sanchez ", dit le plus sincérement du monde la sage-femme en tendant le paquet de linge dans les bras de Tiago Sanchez. L'homme se trouvait bien maladroit. Un paquet de muscle d'1m95, une barbe de terroriste, de grand yeux noir, bref, le type même de l'échappé de prison. N'empeche qu'avec son fils dans les bras, le papa faisait moins le fière et semblait au bord de la crise d'angoisse. Avec toute la maladresse du monde, il receuillit le bébé dans ses bras et jeta un coup d'oeil sous le draps. Pas de doute, cet enfant était bien de lui avec cette tignasse brune foncé et ces yeux déjà bien sombre pour un nouveau né. Oui, Lucas était bien son fils et pour le prouver il lui donna comme second prénom Elias, son propre deuxième prénom. C'est ainsi que Lucas fit la recontre de son père, cet homme qu'il ne tarderait pas à detester de tout son être...Et comme dans toutes les histoires, le premier rebondissement débute souvent au début. Celui dont je parle, c'est la disparition de sa mère quelques jours aprés sa naissance. Carmen avait pliée bagage, laissant son tout jeune bébé aux soins de son mari, ou du moins de son conjoint. C'est moins glamour là, hein ?

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Alors que la neige s'abattait en gros flocon sur New-York, Lucas était dehors, un leger menteau sur les éaules, une cigarette à la main. Les températures se situés bien en dessous de zéro et le vent pouvait vous glacer a en perdre la tête, mais Lucas ne bougea pas de son banc, Son portable se mit a sonner dans l'obscurité et brisa le silence pesant de la nuit. Lucas n'y jeta même pas un regard, comme immobilisé par une force étrangère. Le temps était peut être boulversé, mais c'était lui qui était le plus mal, lui qui avait l'impression d'être sans dessus-dessous. "Mr.Sanchez ?", Lucas sursauta en voyant cette pale silhouette devant lui, tel un spectre sortit de ses rêves. La jeune femme semblait frigorifié bien qu'elle été envellopé d'un épais menteau polaire. Malgrés ça, elle prit place a côté de lui. "Je sais que cela ne me regarde pas et que vous allez certainnement me préter une oreille discrète et me demandé gentimment de foutre le camp, mais j'ai quelque chose a vous dire. Vous père est un connard, c'est un fait, mais il est aussi un humain et je pense qu'il a le droit a ce que vous alliez le lui dire", elle termina sa phrase, ne bougeant pas de sa place. " Tiago est quelqu'un de cruel mais vous, il vous aime vraiment, vous êtes la seule chose qui est une quelconque importance a ses yeux dans ce monde. Vous souhaité sa mort et je le comprend, mais dites lui au moins au revoir" et là, cette inconnue se leva et disaparut.

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Lucas n'était pas allé dire au revoir a son père. Il n'avait pas trouvé la force d'aller retrouver cet homme qui avait commit tant de crime et qui avait brisé tant de famille. C'était étrange, mais il était presque soulagé de le savoir mort. La peine de mort n'étant pas accepté dans tous les états, il avait était transféré dans l'Ohio et avait eut recours a son éxécution. Cependant, même si il n'était pas allé lui dire au revoir, il vint quand même se rendre dans le centre pénitencier. " Lucas Sanchez ? le fils de Tiago Sanchez, c'est bien ça ?" ,lui demanda alors une femme vétue d'une robe noir et déjà bien attaqué par la vie. Lucas secoua la tête, pas vraiment fière de ce géniteur. "Votre père est un monstre ! Il a assasiné mon mari et fait battre mon fils ! Quel genre d'homme peut il être pour causer tant de peine ? Je souhaite qu'il souffre et j'espère pour vous que vous vivrez assez longtemp pour connaitre ce que sa fait d'être dépouillé de tout !", elle était devenut incontrolable et deux agents de sécurité vinrent a la rescousse de Lucas. Ce jour là, il comprit a quel point la vie pouvait être injuste, à quel point un être humain pouvait basculer dans l'obscurité.

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Cela faisait maintenant 6 mois que Lucas avait rejoint Oxford. Pourquoi cette ville ? Aucune idée. C'était juste pour cette ville qu'il avait prit un billet d'avion et qu'il c'était envolé, vidant son appartement New-Yorkais. Il y avait aussi ramassé le peu d'affaire qu'il avait, quelques vetements, un album photo de lui bébé et un peu d'argent. De son père, il n'avait rien gardé. Lucas c'était alors loué un petit studio sous les toit au coeur d'Oxford et c'était inscrit a l'université. Et c'est quand on s'y attend le moins que la vie vous reserve parfois des surprise... " Lucas ? C'est bien toi ? Oui j'en suis sur...", la femme était assez grande, le teint léger, une quarantaine d'année peut être plus. Elle portait une robe rouge lui allant à merveille ainsi qu'un foulard prada hors de prix certainnement. "Oui c'est bien moi. Et vous êtes ?", lui demanda t'il en retour. Il s'apprétait a aller rejoindre sa classe et il était plutot pressé. Cet examen allait lui permettre, ou non, de passer en seconde année de médecine. "Je m'apelle Carmen, je suis ta mère". Sa mère... A 19 ans, Lucas venait de retrouver sa mère. Cette femme élégante et distingué qu'il n'avait qu'imaginé en rêve.

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Il s'avérait que Carmen avait fuit car son père lui faisait trop peur a l'époque. Elle l'avait aimé pourtant mais n'avait jamais put se résoudre a vivre dans la peur. "Pourquoi tu ne m'as pas emmené avec toi ? Pourquoi m'avoir laissé a ce monstre ?", à cette question, Carmen baissa la tête. "Je ne pouvais pas. Ton père m'avait prévenut que si je m'enfuyais avec toi, j'aurais des problèmes. Ton père en voulait a ma fortune Lucas. Si je suis la, c'est parce que je peux t'offrir une meilleure vie...". Et oui, Carmen De cruz n'était autre que l'héritière d'une des fortune espagnol les mieux cotés du monde. Mais Lucas s'en foutait royalement. Il vivait avec ses économies, il se débrouillait bien. Voilà pourquoi il refusa qu'elle lui donne quoi que ce soit même si il serait posseseur de cette fortune aprés la mort de sa mère. Néenmois, elle insista pour lui payer ses deux années d'études supplémentaires, avant de disparaitre, en lui prometant de la joindre si il était dans le besoin. "Ah j'allais oublier ! Tu a une petite soeur, elle s'apelle Neveah ", et elle quitta la table sans rien ajouter.

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Ce n'est qu'as 22 ans que Lucas tomba amoureux. Et oui, vous savez ce grand amour qui fait pousser des ailes et en même temps, qui vous rend faible, trés faible... Cette fille, il l'avait comme un fou, et elle lui avait tout donné. Leah, cette beauté d'une autre nature, cette fille superbe sans le paraitre... Mais un beau jour, tout s'écroule. Un beau jour, alors que vous vous appretez a lui demander sa main, alors que la bague est bien au chaud dans son écrin, que votre discours est préparé, que votre coeur s'emballe a l'approche de votre demande...votre téléphone sonne et là, tout s'écroule. Lucas n'avait jamais courut aussi vite de toute sa vie. Il avait courut comme un forcené, et c'était rendut à l'hopital. Il connaisait encore trés peu les lieux, sans savoir que bientôt, il ferait quasiment partit des murs de ce batiment. Lucas sentait son coeur se détacher a chaque foulées. Plus il parcourait les couloirs, plus il sentait cette envie de vomir... Quand il arriva devant la chambre que lui avait donné la receptionniste de l'hopital, Lucas vit un corp innanimé, allongé sur un de ces lits plafard. Leah avait le visage fermé, les yeux clos. Lucas aurait voulut voir son visage serein, apaisé, mais ce n'était pas le cas. Soudain, un médecin posa sa main sur son épaule. "Je suis désolé. Nous avons fait notre possible mais les blessures étaient trop importante. J'ai appelé sa famille, il ne vont pas tardé. Mais en fouillant de son sac à main, on a trouvé votre numéro et il y a certaines choses qu'elle aurait aimé vous donné je pense", le médecin pointa du doigt ses affaires et disparut. Lucas s'approcha et découvrit alors une lettre, une superbe lettre et dans cette chambre, il se mit à pleurer, comme jamais il ne l'avait fait jusqu'as aujourd'hui.