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 (m) SOMERHALDER ৩ caricature ; c’est ce que tu es, la caricature du pauvre mec qui a tout, mais qui n’est rien.

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Arizonà-Robyn Oxburry

Arizonà-Robyn Oxburry

ADMINISTRATRICE cette fille c’est un prédateur déguisé en caniche !


Masculin
► papotages : 417
► emménagement : 27/08/2011
► célébrité : ninaMAGICdobrev.
► humeur : happy.
► jukebox : set the fire to the rain - adele.


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☞ mes relations.:
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MessageSujet: (m) SOMERHALDER ৩ caricature ; c’est ce que tu es, la caricature du pauvre mec qui a tout, mais qui n’est rien.   (m) SOMERHALDER ৩ caricature ; c’est ce que tu es, la caricature du pauvre mec qui a tout, mais qui n’est rien. EmptyLun 5 Sep - 19:28


« Maël - à changer.»



NOM(S) & PRÉNOM(S) ici sera Maël. Mais vous pouvez le changer, c'est même conseillé. Smile Au pire, gardez Maël en deuxième prénom. Wink ÂGE Sachant qu'il est marié et que ce n'est pas du genre à se marier à dix neuf ans, je pense que vingt cinq-six ans ferait l'affaire. DATE & LIEU DE NAISSANCE Il est né à San Francisco, là où Sunday l'a rencontré. STATUT CIVIL Il est marié. MÉTIER OU ETUDES Comme vous le souhaitez. GROUPE৩ Comme vous le voulez. AVATAR ৩ Ian Somerhalder. NÉGOCIABILITÉ ৩ Il est entièrement négociable, mais étant assez difficile, j'aimerais qu'on me prévienne et qu'on me demande si l'avatar ne vous plait pas. Mais à priori, il n'y a aucun soucis.


« Story & Caractère »



✎ Maël vient d'une famille très aisée. Ses parents l'ont toujours guidé ; quoiqu'il fasse, ses parents sont toujours derrière lui pour le pousser dans la 'bonne direction'.
✎ Il connait son épouse depuis qu'ils sont petits et leurs parents ont toujours voulu les voir ensemble, pour placer l'héritage des deux familles entre de bonnes mains.
✎ Malgré qu'il n'ait pas vraiment eu le choix de 'choisir' la femme avec qui il passera le restant de sa vie, il aime son épouse. Mais d'un amour très différent de celui qu'il éprouve pour Jules. C'est plutôt un amour forcé, comme s'il s'obligeait à être avec elle.



« You and Me »


Ils se sont rencontrés il y a un an, dans un parc, tout bêtement. Elle était assise dans l'herbe, à lire l'un de ses bouquins favoris. Il marchait, les écouteurs aux oreilles, les mains dans les poches. Quand leurs regards se croisèrent, ce fut le coup de foudre. Un moment inexplicable, comme on en vit qu'une seule fois dans sa vie. De l'attirance folle. Impossible de l'éviter. Sunday ne lui accorda qu'un seul sourire. Qu'il lui renvoya sans grand espoir de la revoir un jour. Ça n'a duré que quelques secondes. Assez pour faire palpiter le cœur des deux jeunes personnes. Pendant deux mois, ils ne se sont jamais revus. Ce fut à une soirée entre amis qu'ils se retrouvèrent. Dès le début, Maël fit comprendre à Jules qu'il était fiancé et amoureux. Mais une chose était sûre, il ne le faisait pas comprendre qu'à la jolie brune, mais à lui aussi. Et les regards soutenus que lui lançaient la jeune femme ne l'aidaient surement pas. Il tenta alors, toute la soirée, d'éviter son joli minois, de peur de succomber et de tomber dans le piège de l'infidélité. Lui qui détestait cela, il fut bien obligé d'admettre que ça ne se contrôlait pas, puisque ce soir là, ce fut dans le lit de Sunday que tout cela se termina. Le réveil fut brutal et très difficile. Pour tous les deux. Et ça se répéta, encore et encore... « On n'aurait pas dû... » « Non... Non ! Écoute, regarde moi ! … On oublie, ok ? On prend nos distances, on s'éloigne, on ne s'appelle pas. » « D'accord ! On prend nos distan... » Il la coupe net d'un baiser des plus passionnés. Elle répond aussitôt, mêlant ses doigts dans les cheveux du beau brun. Au moment où il l'emmène sur le lit une nouvelle fois, elle se recule avec mal. « Stop ! STOP ! On prend nos distances, Maël ! » Elle résiste tant bien que mal à lui arracher ses vêtements. Le statut de maîtresse d'homme marié ne lui plait guère, mais il fait d'elle une jeune femme si comblée qu'il est bel et bien impossible de ne pas succomber à ce bonheur éphémère. Quant à lui, elle le rend dingue, le rend fou, le rend faible. Ils détestent ça. Ils détestent cette attirance innée. Mais c'est tellement bon. « Oh, par pitié, une dernière fois ! » Il la supplie, comme jamais. Il est tellement beau. Et elle succombe, comme d'habitude, s'abandonnant dans ses bras musclés, couvert par de tendres baisers fougueux.

« C'est qui c'type ?! » « Quoi ?! » « C'est qui ce gars là, avec qui t'étais ce matin ? » « Tu m'espionnes ou je rêve ?! » « Répond moi ! » Elle le fusille du regard. Mais cette fois-ci, quand elle regarde Maël, il n'a pas ce petit air angélique. Non, il a une tête de gros jaloux possessif. Bon, c'est vrai, ça ne lui déplait pas. Mais ses yeux continuent à jeter des éclairs. Furieuse la petite brune. Si Sun' déteste une chose, c'est bien qu'on la surveille. Elle se redresse du lit, cherche désespérément ses affaires et ne les trouve pas. La brunette enfile la chemise de Maël qui traine par terre. Malgré que les pensées du beau brun sont ailleurs, il ne peut s'empêcher de la regarder de haut en bas. Elle est terriblement sexy. « Alors, c'est qui ? » « Un gars que j'ai rencontré hier soir. Il m'a raccompagné. Plutôt cool. » Il ne peut s'empêcher de ricaner. « Tu l'as rencontré hier soir et il t'a raccompagné ce matin ? T'as passé la nuit chez lui ? » Elle hausse les épaules. Maël se redresse, visiblement furax. « T'as couché avec lui ?! » Il hurle, maintenant. Sunday lui tourne le dos, appuyée contre la fenêtre. « T'as rien à me dire sur ça, Maël. » Elle sent qu'il s'approche à grands pas. Il vient se poster devant elle pour lui attraper le bras. Il a beau être énervé, ses gestes sont doux, comme s'il avait peur de la briser. « On en a déjà parlé ! Je couche avec elle pour ne pas éveiller les soupçons, tu le sais, ça, hein ?! » « Sauf que moi j'en ai marre de passer pour la grosse salope. Ça fait des mois et des mois que ça dure ! Je peux plus Maël ! Et puis ne me dis pas que tu couches avec elle juste pour ne pas qu'elle se doute de quelque chose ! Tu l'aimes, putain ! » Il baisse les yeux. Il sait qu'elle a raison. Mais il n'a pas le choix, pour faire honneur à sa famille, pour son héritage. Pour son argent. Mais quand elle termine par 'tu l'aimes', il relève soudainement la tête. Il voudrait lui montrer que ses sentiments sont différents, mais lui dire qu'il l'aime serait du suicide. Peut être parce que cet amour est trop fort. Jules et Maël ne pourraient sûrement pas être ensemble sans qu'ils se détruisent par un sentiment aussi puissant. Les yeux de la brunette s'emplissent de larmes. Elle est blessée. Il l'a blessée. « Tu sais quoi ? Je crois que c'est finis. Tu vas sagement rentrer chez toi, et je ne veux plus te voir. Moins je vais te voir et mieux je vais me porter. C'est finis, Maël ! J'en ai marre. » Il laisse retomber sa main qui entoure le bras de la brunette et la fixe pendant de longues secondes. Et puis, à sa grande surprise, alors que Jules pense, au fond, qu'il va appeler sa fiancée pour lui dire que tout était finis, il part. Sans un mot.

Ça fait trois mois que Sunday fait tout pour l'éviter. Elle a énormément souffert de cette 'rupture', d'autant plus qu'un mois après, Maël s'était marié. Il la dégoute. Du plus profond de son être. Il la dégoute tellement. Mais ce qu'elle ignore, c'est que Maël ne cesse de penser à elle. Il l'aime. Tellement. Mais d'un côté, il y a l'honneur de sa famille. Son héritage. Et la peur de faire mal à son épouse. Alors il reste avec elle, espérant qu'un jour ou l'autre, il finira par tomber nez à nez avec Jules, et par s'excuser...


Dernière édition par D. Sunday-Jules Phoenix le Ven 16 Sep - 19:46, édité 3 fois
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