NOM(S) & PRÉNOM(S) ৩ J. Samuel-Eliott De Lorentis ÂGE ৩ 23 ans DATE & LIEU DE NAISSANCE ৩ Athènes, Grèce STATUT CIVIL ৩ Célibataire MÉTIER OU ETUDES ৩ au choix GROUPE ৩ au choix AVATAR ৩ Harvey Newton NÉGOCIABILITÉ ৩ oui, mais cela dépend pour qui.
Je n'aime pas imposer d'histoire, je vais juste mettre quelques points fondamentaux, qui vont, je m'en doute, beaucoup structurer l'histoire, au pire, on pourra s'arranger
→ Samuel est un grec qui n'a pas honte de son origine. Il est le fils d'un très riche entrepreneur, là-bas, qui l'a dés-hérité lorsque celui-ci mit enceinte sa première petite amie, qu'il quitta puis qui fit une fausse couche.
→ Ne supportant pas l'atmosphère pesante qu'il vivait là-bas, il pris son billet d'avion pour Paris à l'âge de 17 ans. Il n'y resta que quelques mois alors qu'il avait reçu une lettre de son ex, lui disant qu'elle l'avait retrouvé. Il partit alors à Middleton Hill, où il fit la rencontre de Phoenix qui devint sa plus proche confidente.
Voilà, en gros c'est tout ce que je demande. Samuel doit être gentil, attentionné et compatissant. Ce n'est pas le gros dur avec un coeur de pierre. En réalité c'est un vrai nounours au coeur d'or qui ferait tout pour ses proches et surtout pour sa bien-aimée. Voilà, j'arrête maintenant avant d'écrire une histoire complète
Phoenix et Samuel. Que dire. Ce sont deux âmes liées qui ne voient pas ce qui est présent juste devant leurs yeux. Ils ne voient pas tout l'amour qu'il se portent. Toute la tendresse qu'ils partagent. Samuel a toujours été le seul a savoir calmer les ardeurs de la belle rousse. De sa voix calme et posée, il a toujours su lui dire les mots qu'il fallait, lui prouvant à chaque fois qu'il tenait un peu plus à elle. Ils passent des soirées ensemble, seulement à se tenir dans les bras devant un film romantique et à pleurer, se réconforter. Il y a bien plus que de l'amitié entre eux deux, même si les deux seuls concernés ne le voient pas. Ils ne distinguent pas ce pincement quand on aperçoit un sourire. Ce même sourire, qu'on affiche lorsque l'on voit l'autre. Ce sont des âmes soeurs. Des complices. La parfaite osmose de deux êtres et pourtant, jamais n'a rien été aussi floue que leur relation. Ils ne s'est jamais rien passée entre eux, et pourtant, chaque regard échangé est plein de tendresse et d'amour. On dit bien que l'amour rend aveugle.
plus un extrait de ma fiche :La belle rousse se trouvait devant une porte d’appartement et appuya sur la clochette qui se trouvait à la droite de la porte verte délabrée. Un jeune homme apparut dans l’ouverture de la porte puis souffla en voyant Phoenix devant sa porte.
« J’ai rompu. Prends moi dans tes bras s’il te plaît. Je vais pleurer. » Pleurer n’était pas une chose habituelle pour la belle rousse. Elle était dure comme un roc, mais dans des moments comme ceux-ci, elle avait besoin de lui. Besoin de son ami de toujours, celui qui avait toujours été là pour elle et dont la relation était plus qu’ambiguë même s’ils niaient tout les deux la naissance de sentiments plus qu’amicaux entre eux. Le jeune homme s’avança et la serra dans ses bras de toutes ses forces. Phoenix ferma les yeux, puis une larme roula sur sa joue. Elle passa ses bras dans le dos de son ami, pleurant sur son épaule puis elle s’est reculée, le regardant triste de la voir comme ça, avec ses petits yeux mouillés. Puis elle sourit, lui indiquant qu’elle n’allait pas si mal que ça.
« Je peux dormir ici ce soir ? S’il te plaît, je peux pas retourner dormir là-bas … ». Le jeune homme acquiesça, l’invitant à entrer.
La belle rousse se dirigea alors vers la chambre puis piocha dans la penderie une chemise trop grande pour elle puis sourit en sentant l’odeur de son ami, imprégner sur le tissu.
« J’peux t’emprunter ça, s’il te plaît ? » Le jeune homme sourit, sachant que même s’il disait non, la jeune femme n’en ferait qu’à sa tête. Il était tard et elle s’en alla dans la salle de bain, enfiler la chemise qui lui servirait de pyjama puis rentra de nouveau dans la chambre, se jetant dans le lit.
« Tu viens dormir ? ». Certains auraient trouvé que dormir ensemble signifiait beaucoup plus qu’être de simples amis.