NOM(S) & PRÉNOM(S) ৩ ici ÂGE ৩ 32 nas DATE & LIEU DE NAISSANCE ৩ écrire ici STATUT CIVIL ৩ écrire ici MÉTIER OU ETUDES ৩ patron d'une boîte de stylisme GROUPE ৩ écrire ici AVATAR ৩ Joseph Morgan NÉGOCIABILITÉ ৩ proposez, c'est possible (:
Je laisse l'histoire totalement libre, tant que le métier, l'âge et le lien sont respectés, bien sur.
La nuit tombé à Oxford. Les lampes s'éclairaient alors et les gens rentraient chez eux. Du boulot, du parc, de la piscine. Seul ou avec leurs enfants. Qu'importe. Ils prenaient la direction de leur maison. Épuisés, tracassés, ailleurs, voir mêmes dépressifs. Siobhàn, elle aussi, rentrait du boulot comme chaque soir. Elle n'avait eu que deux heures de cours ce jour-là et avait enchaîné avec son travail de stagiaire dans la boîte de stylisme où elle était. Et dire que ça ne faisait qu'une semaine qu'elle était là. Elle rentra à la villa et posa ses affaires dans l'entrée avant de jeter un coup d'oeil à sa montre. 19h pile sonnait. Elle monta alors et enfila une petite robe noir avec des chaussures à talons avant de se hâter hors de chez elle. La nuit, le meilleur moment de sa journée. Le moment où elle pouvait s'oublier devant un verre de vodka, se perdre dans les bras d'un bel inconnu, ou même connu. La jeune blonde poussa la porte d'un bar devant lequel elle était passé plusieurs fois. Pas trop bruyant, ni trop calme. Une musique assez rythmé accompagnait les bavardages du bar. Elle s'avança et commanda un verre de vodka. Très vite, un homme plus âgé qu'elle vint se placer à côté d'elle. Elle ne releva pas les yeux vers lui, comme pour tester ses techniques de drague.
"Bonsoir, mademoiselle Doherty..." Un frisson parcourut son corps. La voix était semblable à celle de Tyler, mais en plus grave. Ses yeux se levèrent alors vers l'homme en question. Bingo ! Ce n'était pas Tyler et c'était quelqu'un de plus âgé. Mais autant dire que la surprise fut immense. Son patron. Son patron, avec un sourire au coin des lèvres et un regard de dragueur professionnel. Son patron... Mais, il l'approcha avec douceur. Quelques verres de vodka pour bien commencer et, une fois qu'elle fut bien bourrée, il l'entraîna avec elle...
Deux mois ont passé depuis cette aventure d'un soir. Du moins, elle était censé l'être. Puisque, entre temps, ils avaient recommencé plusieurs fois. C'était une de ces journées normales. Métro, boulot, dodo, comme dirait certains. Tout ça pour dire, que 19h sonnait à nouveau et qu'elle se précipita dans ce fameux bar. Elle jetait des regards furtifs autour d'elle, comme une fausse invitation envers les jeunes hommes biens mignons mais bien.. Cons, si j'ose dire. Elle s'accouda ensuite au bar et commanda à nouveau une vodka. Elle eut le temps d'en boire deux quand, enfin, des mains vinrent se posent sur sa taille, la tirant doucement en arrière. L'homme en question, s'approcha et murmura à l'oreille de la jeune femme.
"Dans cinq minutes, dans les toilettes. J'ai intérêt à t'y voir, jolie Siobhàn." Toujours ce même foutu frisson quand il était là. Pas du désir, pas de la passion, non plus de l'amour. Mais plus de la peur. Elle était terrifiée, par lui. La jeune femme se leva et finit son verre avant de rentrer dans les toilettes. Directement, des bras l'attirèrent vers le côté. Mais, cette fois-ci, elle se débattit et recula.
"STOP !" La première fois qu'elle osait se "rebeller" contre cet homme qui avait tant d'emprise sur elle. Il haussa un sourcil avec, néanmoins, un sourire amusé aux lèvres.
"Je ne veux plus. Je ne peux pas ! C'est horrible, ça ne se fait pas !" Il s'approcha d'elle, repoussa une mèche de ses cheveux en arrière tout en la regardant, une petite moue sur le visage. Elle garda espoir un instant, du moins jusqu'à ce qu'il éclate de rire.
"Mais voyons, ma p'tite, tu n'as pas vraiment le choix. Si tu tiens à ton petit travail et à l'argent qui te permet de vivre ici, tu fais ce que je te dis." Elle tremblait totalement. Et se recula. Mais, Siobhàn savait que c'était foutu. Qu'encore une fois, elle devrait léguer son corps à cet homme vicieux et sans coeur. Alors, elle le laissa faire et ce fut comme ça, toujours.. C'était la seule solution. Du moins, c'était ce qu'elle se répétait pour ne pas craquer.
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