NOM(S) & PRÉNOM(S) ৩ Rosenberg, Doraleen, Castielle ÂGE ৩ 25 ans DATE & LIEU DE NAISSANCE ৩ 18 juillet 1986 STATUT CIVIL ৩ fiancée MÉTIER OU ETUDES ৩ sans emploi GROUPE ৩ the grass is always greener on the other side AVATAR ৩ kristen bell

ce qu'il y a de bon en moi,


Franche


Dynamique


Extravertie


Altruiste


Intelligente



mais aussi de mauvais.

Un peu vache


Râleuse


Impulsive


Impatiente


Colérique

« give i everything »

Doraleen est une amoureuse des arts, elle est très douée en peinture, elle adore la lecture, elle fait de la danse classique et joue du piano et du violon, sa mère ayant toujours considéré que l'art reflétait la richesse elle a toujours tenu à ce que que Doraleen soit plongée dans ce domaine Ҩ Elle rêve de voyager, elle voudrait voir Paris, Rome et Tokyo et bien d'autres encore, mais pour une raison étrange, elle n'a jamais osé s'éloigner de sa famille Ҩ Elle a toujours rêvé de devenir neuro-chirurgienne, elle avait de l'ambition, elle se voyait gravir les échelon pour devenir un jour doyenne d'un hôpital, mais aujourd'hui, ce n'est devenu qu'un rêve irréalisable Ҩ Elle joue aux jeux vidéos, surtout aux survival horror, elle dit que ça permet d'affronter ses peurs et d'aller de l'avant, même si ça ne marche pas très bien chez elle Ҩ Elle est assez bordélique, elle ne laisse pas trainer le linge sale, ni les assiettes pleine de bouffe, mais elle est assez désorganisée du coup elle s'étale vachement Ҩ Elle dit toujours ce qu'elle pense sans se sentir gênée, elle à longtemps été une jeune fille sage et obéissante, mais tout ça c'est fini aujourd'hui, elle peu paraitre vulgaire voir négligée parfois et si ça ne plait pas aux gens, tant pis pour eux Ҩ Malgré son âge, elle reste une grande enfant, elle adore les jeux divers et variés, c'est une fan des pokémons, et elle pense que Salaméche est le plus fort de tous, elle aime les dessins animés Ҩ Elle regarde également beaucoup de séries en tous genre et des mangas Ҩ Elle a son permis de conduire, mais préfère privilégier les transports en commun et la marche à pieds Ҩ Elle est très sportive, elle commence toujours ses journées par un jogging Ҩ Elle a deux chats Yuki et Aki, neige et automne en japonais Ҩ Elle ne peut pas sortir sans son portable et son mp4, tous les deux ornés de leurs pomme croquée pour ne pas citer de marque Ҩ Elle est assez maladroite et pour une raison assez étrange, elle se retrouve systématiquement dans des situations étranges et qui n'arrivent qu'à elle Ҩ Elle râle beaucoup, même sans véritable raison, disons que c'est plus qu'elle Ҩ Elle a une peur bleu des araignées, elle ne les supporte pas même les plus petites la font hurler Ҩ elle adore les macaron, déjà parce que c'est trop beau, toutes les couleurs, la forme et tout, ensuite parce que c'est français et qu'elle adore la France et ensuite tout simplement parce qu'elle trouve ça excellent Ҩ C'est une très bonne cuisinière, elle adore faire de la pâtisserie et justement, les macarons elle les réussit très bien.

« once upon a time »

Rosenberg. Ce nom n’était pas inconnu aux oreilles des habitants d‘Oxford, peut être même de l‘Angleterre. Pour une raison que bien des gens ignoraient, aujourd’hui, il y avait des journalistes devant les portes de l’hôpital de la banlieue de Middleton Hill, beaucoup de journalistes. Ils attendaient la venue d’un homme connu, cet homme portant le nom de Rosenberg. Il arriva en limousine devant l’hôpital, comme coupé dans un trajet bien plus important que celui vers l’hôpital, ou comme profitant d’un évènement attendu depuis neuf mois déjà, pour faire augmenter sa côte de popularité. 18 juillet 1986. Il sortit de sa limousine, un sourire au lèvre, un salut de la main aux journalistes, salut qui lui allait si bien, s’accordant parfaitement avec son costume noir, sa chemise blanche et sa cravate dépassant à elle seule les milles dollars. Élégance. Voilà le mot qui définissait bien cette allure assurée, cette émotion de joie sur son visage, comme si cet heureux jour d’été était le plus beau de sa vie. Il entra dans l’hôpital, sourire aux lèvres, et là déjà une infirmière vint le quérir poliment, avec beaucoup de respect, pour le conduire jusqu’à l’une des chambres, déjà gardée par deux hommes aux aspects d’armoire à glace. Rosenberg entra dans la chambre, déjà bien décorée et qui laissait penser facilement que la locataire des lieux était très riche. Une jolie femme blonde était allongée dans le lit, maquillage soutenu, masquant les cernes qu’elle avait sous les yeux, brushing défait par l’oreiller contre lequel elle était appuyée. Rien ne pouvait convenablement masquer sa fatigue et pourtant elle avait tenter de la dissimuler, mais il aurait fallu être aveugle pour ne pas le voir. L’homme lui sourit, ce sourire typique que l’ont voyait partout dans les médias, ce sourire sonnant si faux sur ses lèvres, pas qu’il soit mécontent, juste qu’il ait, sans doute l’impression de perdre son temps à être ici à cet instant. Cette femme allongée au fond du lit, le savait, mais elle s’efforçait de faire fit des sentiments de son époux, de toute façon, elle ne savait pas vraiment si elle l’aimait vraiment et s’il l’aimait, alors, peut être n’étaient-ils que l’union de deux grandes familles Londoniennes, vivant désormais à Oxford, dans une chic banlieue résidentielle. L’infirmière qui avait accompagné Rosenberg jusqu’à cette chambre revint, un petit bébé dans les bras, dormant à poing fermé, comme s’il n’avait pas envie d’ouvrir les yeux sur ce monde qu’il n’aimerait sans doute pas en grandissant, sur cette famille qui sera sans aucun doute détestable, cette vie dont il se serait bien passé si seulement on lui avait laissé le choix, seulement, il n’avait pas le choix ce pauvre bébé. Le sourire sur les lèvres, l’infirmière déposa le petit bébé dans les bras de l’homme au costume noir. « Voilà votre fille monsieur. » L’homme eu un nouveau sourire en tenant la petite dans ses bras, sa fille, un moyen de mettre en avant sa carrière politique, il avait déjà un poste haut placé, mais un jour il aurait le poste de premier ministre, c‘était sûr et certain (juste pour lui), il était ambitieux cet homme là, et il savait déjà que son bébé allait l’aider dans sa carrière, cette petite allait l’aider à mettre en avant les valeurs de la famille, valeurs traditionnelles importantes pour le peuple de Grande-Bretagne pour commencer, il allait lui donner le prénom de sa grand-mère, Doraleen et bien sûr les médias seront bien vite au courant de ce choix. Plus que sa fille, la chair de sa chair, Rosenberg voyait en cette petite crevette dormant dans ses bras, son ticket pour la maison blanche.

« Mon Dieu ! C’est quoi cet accoutrement Doraleen ? » « Pardon ? » « Vas te changer ! » « Pourquoi ? » « On va pas à la messe habillée de la sorte ! Jette moi tes jeans troués et achète t-en des nouveaux pour l’amour du ciel, on dirait une SDF là, après tout ce n’est pas l’argent qui nous manque ! » « Je les aime bien mes jeans … » « Discutes pas et vas te changer et tâche de mettre une tenue correcte ! » La jeune adolescente soupira, on était dimanche matin, il était tout juste huit-heure et demi du matin, et il fallait qu’elle se dépêche pour aller à la messe alors qu’elle en avait rien à faire de la messe, elle aurait aimé dormir, c’est tout ce qu’elle demandait elle, mais non, il fallait aller à la messe, comme dimanche dernier et comme dimanche prochain, pour écouter des discours toujours plus ennuyeux les uns que les autres et là, ça faisait déjà cinq fois qu’elle descendait et que sa mère lui disait que sa tenue n’était pas convenable, il faisait chaud et elle ne pouvait pas se mettre en robe ou en jupe parce qu’elle étaient sois disant trop courtes, elle ne pouvait pas non plus se mettre en jean et en débardeur, parce que ses débardeur était trop décolleté, elle avait tenté un t-shirt, mais il était trop transparent ! Au final elle était remonté dans sa chambre attendant d’en avoir fermé la porte pour murmuré un « et toi, t’es trop conne ! ». Au final, elle avait trouvé une tenu convenant à sa mère et ils avaient pus aller à l’église en famille, une famille paraissant parfaite. Et c’est d’ailleurs un sermon sur la famille que le père prononça ce matin là, Doraleen l’écouta, jusqu’à ce qu’elle se perde dans ses pensées, le regard fixé sur le père comme si elle avait été attentive à ses mots. La famille, pour elle c’était une blague, la sienne avait-elle seulement exister ? Peut être quand elle était petite, ce jour où elle avait fait ses premiers pas, qu’elle avait tant vu en vidéo, ils avaient l’air heureux ce jour là, ses parents avaient l’air unis, était-ce juste une impression que rejeté les images où était-ce vrai ? Doraleen ne savait plus. Ses souvenirs sur son enfance s’étaient éteint, il ne lui restait plus grand-chose si ce n’est quelques vacances passées en famille, les pays qu’elle avait visité avec ses parents, mais sinon, il ne lui restait que son présent, cette hypocrisie dans laquelle elle vivait au quotidien, sa mère qui faisait comme si tout allait bien, alors que son mariage était en train de s’envoler en fumée si tant est qu’il est un jour existé, comment pouvaient-ils vivre ainsi, eux deux qui se détestaient. Doraleen n’avait que quinze ans, mais une chose était sûre, elle avait hâte d’être en âge de pouvoir quitter cette famille qu’elle ne supportait plus. Entre sa mère qui avait eu une carrière de mannequin et qui n’avait de cesse de critiquer tout ce que sa fille n’avait pas hérité de sa splendeur et son père qui avait élu domicile dans son bureau à Londres, ce n’était vraiment pas la joie ! Elle avait pourtant l’impression qu’elle n’échapperait jamais à ses parents, qu’elle était coincée dans ce monde qu’ils voulaient façonner à leur manière, sans lui laisser le choix, parce que de toute évidence, à leurs yeux, elle était incapable de mener d’elle-même sa vie à bien …

La vie lui paraissait si fade, les jours si long et si inintéressants, elle avait perdu gout à la vie, elle restait des heures appuyée contre le mur, assise sur le rebord de sa fenêtre à fixer l’horizon lointain, comme dans un espoir vain de voir son Angleterre natal apparaitre devant ses yeux, revenir à elle qui détestait définitivement New York qui lui pourrissait la vie. Qu’avait-elle fait pour mérité ça ? Elle avait seize ans, et elle était coincé ici avec ses parents, en Angleterre elle avait tout perdu, ses amis, et surtout Aiden, un garçon qui comptait beaucoup pour elle, un garçon dont elle s’était peut-être trop rapprochée pour que ses parents décident soudainement de quitter l’Angleterre pour les Etats-Unis, une soit disant promotion de son père dans le domaine des affaires étrangères, une promotion bizarre pour un type qui veut accéder au plus haut siège du gouvernement de son propre pays. Elle n’avait pas eu envie de partir, elle avait tout essayé et pourtant en fille bien docile qu’elle était, elle avant fini par se taire et elle avait suivi ses parents ici. Plus les jours passaient plus elle se posait la question, est-ce que c’était vraiment une promotion ou juste une envie de recadrer les relations de leur fille ? Elle savait qu'il y avait plus qu'une question politique derrière sa présence ici, il n'aimait pas les fréquentations de sa fille, il la voyait déjà mariée à un grand avocat ou une connerie dans le genre alors il fallait l'éloigner de tous ceux qui n'étaient pas au niveau des attentes de sa famille, mais une chose était sûre pour la pauvre Doraleen, elle n'épouserait jamais un homme par simple intérêt d'argent ou d'union entre deux familles, elle connaissait trop bien le résultat, elle n'avait qu'à voir ses parents pour savoir qu'un mariage sans amour engendre une catastrophe ! De toute façon, elle ne voulait même pas se marier, la robe blanche, la cérémonie et l'impression d'appartenir à quelqu'un, ce n'était pas fait pour elle, elle était déjà trop encadrée par ses parents, alors elle rêvait de liberté et d'indépendance et sans Aiden à ses côtés elle n'avait aucune raison de changer de point de vue sur le mariage. L'amour, c'était une chose si belle et si blessante à la fois, il n'y a pas d'amour sans déceptions, la vie serait trop belle sinon et assise là, sur le rebord de sa fenêtre, elle essayait de digérer cette déception, de l'oublier lui et ce qui lui avait semblé être une belle histoire d'amour et qui pourtant n'avait aujourd'hui plus que l'air d'être une amourette de passage, elle avait tant cru à la puissance de leur amour, elle avait tant rêvé qu'il dur toujours et pourtant il avait fallu que les elle ne savait combien de kilomètres espaçant New York et Oxford avait suffit à les séparer définitivement. La jeune femme ne pu s'empêcher de retenir ses larmes face à cette idée la démoralisant et lui donnant presque envie de mourir sur place. Ô, le douloureux amour quand il frappe notre cœur à grand coup de pioche, entrainant cette douleur rendant la vie tellement terne et difficile à surmonter, triste peine capable de causer bien des tords à une pauvre âme, à quoi bon tomber amoureux, quand on sait déjà à quel point un jour on finira par souffrir ? Philosophie adoptée par la belle Doraleen, peut être ne tombera-t-elle plus jamais amoureuse de sa vie, mais ce ne sera certainement pas pour ne plus souffrir, mais parce que même si elle ne veut pas l’avouer, jamais ô grand jamais elle ne sera capable de l’oublier lui, Aiden Jones.

Un soupire s’échappa des lèvres de Doraleen alors qu’elle regardait le ciel à travers le hublot. Qu’est-ce qu’elle faisait là ? Quelle idée débile elle avait eu encore ? Elle était vraiment nulle c’était un fait. Il avait raison de ne cessait de le lui répétait et il avait raison. Il, c’était le l’homme qu’elle s’apprêtait à épouser. Elle l’avait aimé à une époque. Un léger sourire traversa ses lèvres quand elle repensa à leur histoire. C’était un homme qui avait beaucoup de mérite, un type bien travaillant avec son père. Un homme d’affaire détaché, cool et qui ne se prenait pas la tête, il avait la fortune que recherchait ses parents et le caractère qu’elle, elle recherchait. Ils s’étaient rencontrés à une énième soirée mondaine à laquelle Doraleen avait été invitée. Elle avait vingt-deux ans, il était un peu plus âgé qu’elle et alors qu’elle ne croyait plus en l’amour, il était arrivé dans sa vie, lui redonnant l’espoir qu’elle avait perdu des années auparavant en quittant l’Angleterre. Leur histoire était belle et quasiment parfaite, mais le temps passant et le jeune homme avait changé. Elle avait trop cru en l’amour, elle avait trop cru en lui et elle s’y était attachée de peur de souffrir une nouvelle fois. Elle avait cru en lui, comme en personne d’autre, qu’importe ce qu’il disait. Il lui avait dit que ça ne servait à rien qu’elle continue ses études, que les femmes ne perçaient pas aisément dans les grandes carrières, elle avait tenté de lui faire comprendre qu’il avait tort et puis finalement elle l’avait cru. Elle lança un regard en biais à son fiancé assis à ses côtés. Il avait gâché sa vie et ses rêves, elle avait bêtement cru en lui et aujourd'hui, qu'étaient-ils devenus maintenant ? Un vieux couple sur le point de se marier, un couple qui ne s'aimait plus. Elle avait tout plaqué pour lui, deux ans auparavant et elle n'avait plus rien, plus rien d'autres qu'un amour éteins depuis longtemps. Elle aurait pu s'en aller, laisser tomber cet homme et ce mariage, mais pour quoi faire ? Elle n'en savait rien, alors autant rester coincée dans une histoire déjà finie. Quitte à être stupide jusqu'au bout, autant l'être complètement et demander à ce que ce mariage débile se déroule à Middleton Hill, cette banlieue dans laquelle elle était née, là où elle avait grandi, là où était enfouie tous ses vieux souvenirs. Un léger soupire s'échappa de ses lèvres, trahissant l'anxiété qui l'envahissait à l'approche d'un passé qu'elle n'avait malheureusement pas