KALENH ⚡ junk of the heart, there's junk in my mind..

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« KALENH TOBY LLOYD-RHODES. »

NOM(S) & PRÉNOM(S) ৩ Kalenh Toby, Lloyd-Rhodes ÂGE ৩ 23/24ans DATE & LIEU DE NAISSANCE ৩ 24 novembre STATUT CIVIL ৩ célibataire MÉTIER OU ETUDES ৩ écrire ici GROUPE ৩ The grass is always greener on the other side. AVATAR ৩ Hunter Parrish

« give i everything »

Ici, tu est libre d'écrire ce qu'il te plait sur ton personnage, des informations des anecdotes, une histoire drôle qu'il/elle aurait vécu ou triste l'histoire mais tout ceci doit être écrit en un minimum de dix lignes si tu décides d'en faire deux, sa sera dix lignes chacun et pas cinq & cinq.

« once upon a time »

Life is a mystery, everyone must stand alone. La vie est un conte de fée merveilleux avec des licornes et des monstres. Mon cul. Dieu sait dans quelle famille on m’a éduqué. Bordel, je suis presque née dans une famille plus qu’immense, aux airs un peu délurés, mais qui se cachent beaucoup de choses. Ouais, je sais, dans ces familles immenses avec le sens de la fraternité, un monde un peu étrange. Oui, au fait en passant je m’appelle Kalenh Taboy Lloyd-Rhodes , et n'en voulez pas à ma famille, ils vivent un peu sur une autre planète.

« LILLY (cousine) - Il va encore le faire? » dit la jeune Lilly, qui m’observait m’installer avec tout mon attirail. « ROSA (grand-mère) - Fred! Elle va pas chanter? » chuchota ma grand mère, à l’oreille du patriarche du clan « WILLIAM (oncle) - Comment ça ton cousin va jouer de la guitare? » répondit mon oncle à ma cousine, avec l’air grave et blasé. « CATHERINE (mère) - POURQUOI tu as dit à ton fils qu'il pouvait jouer » hurla ma mère sur mon père, tout bredouille. « HENRY (père) - J’ai pas eu le choix, elle a fait.. » balbutia-t-il, complètement impuissant. « LILLY (cousine), ROSA (grand-mère), WILLIAM (oncle), CATHERINE (mère) - le coup des yeux doux et de la petite voix mielleuse, on sait. » s’écrièrent-ils. Comment j’ai pu être aveugle à ce point? Je vous explique tout de suite. Quand j’étais en primaire, c’est à dire de mes cinq ans à mes cinq ans à mes huit ans, j’ai eu l’obsession de devenir une star du rock, d’où ma passion pour la musique. Il faut dire que je n'étais pas très bon à la guitare ni en chant, mais ça c'est arrangé avec le temps. A cette époque, ça faisait deux ans, qu’à chaque réunion de famille, je chantais une chanson, sans me rendre compte de mon talent empoisonné. Alors je chantais d’une voix affreuse, sous les grands sourires de toute ma famille, les applaudissements. J’avais l’habitude de demander les faveurs à mon père qui m’a presque toujours tout cédé. Alors il me filmait, me disait de continuer comme ça. Et puis j’étais fier de mes prouesses à chaque fois, limite que je les montrais à la plupart de mes camarades. J’ai jamais vraiment vu qu’ils étaient hypocrites. Et rassurez vous, ça s’est même aggravé avec le temps. Maintenant, cette époque de ma vie me joue des tours. Oui, ma famille est de ce genre, à repasser les vidéos en boucle aux réunions familiales, pour rigoler un bon coup. Et là j’ai honte, honte. Je me cache pendant environ trente minute, m’énerve, casse un verre ou une assiette en essayant de me faire petit.

« LILLY (cousine) - Kalenh, c’est le pied gauche, pas le droit. » souffla ma cousine, tandis qu’on tentait de nous apprendre la danse traditionnelle. « ROSA (grand-mère) - Mon chéri, écoute la musique, tu vas trop lentement. » lança, par la suite ma grand-mère « CATHERINE (mère) - C’est pas possible Kalenh! Tu es née avec deux pieds gauches. » cria ma mère, hors d’elle. « KALENH - Mais j’y comprend rien moi à cette danse, apprenez moi un truc de mec. » lançais-je, désemparé. « HENRY (père) - Si tu le fais pas, je te jette dans la gueule du lochness. » la blague en rapport avec nos origines écossaises avec laquelle il tentait de me faire rire, et qui n’avait jamais marché. « KALENH - Très drôle papa. Va mettre un kilt et on en reparle après. » Voilà, j’ai jamais rien compris à la vie Ecossaise. Même à la vie en bonne société. Comment on croise les couverts, comment on met la table, savoir dessiner les armoiries du clan, danser les danses traditionnelles. J’ai jamais été doué pour les bonnes manières, et ça m’a joué beaucoup de tours. Je suis pas une machine à être poli, j’étais au collège et je disais des grossiertés toutes les trente secondes.

Au lycée, j'aurai pû être le genre de garçon qu'on idolâtre, qu'on aime, dont on veut être l'ami. J'avais ce qu'il fallait pour plaire. Des cheveux plus blond que la normale, du naturel, j’étais issue d'une famille assez sympathique. Mais pas le genre de lycéen qu'on aime. J'étais bon élève, je cassais la baraque à la moitié des devoirs toute l'année mais agaçant, je les cassais à tout le monde. Du genre à être je m'en foutiste, voire snob. En fait je n'avais pas vraiment d'amis. Je venais d'une bonne famille, j'étais destiné à être en haut de l'échelle, dans une carrière d'avocate. J'étais brillante, pas trop mal, mais incroyablement arrogante, je voulais sans cesse être le meilleur. En sport, dans les activités extra-scolaire, comme la voile, sport que j’adore plus que tout, ce qui ne faisais qu'accroître ma compétitivité.Mais par contre j'étais assez demandé aux soirée. Mais j'étais en règle générale plus que le genre à personne. J’ai jamais hésité à être franc et odieux. Je n'en reviens toujours pas, même si désormais c'est plus la même rengaine.

Puis un jour, j'ai connu mon jour de gloire. J'étais devenu doué dans quelque chose qui me plaisait plus ou moins. La musique. Prenant ma guitare, un micro, j'ai réussi à convaincre un public assez difficile, celui de mon université. Après ça, la vie n'a plus jamais été la même. Ça n'a pas arrangé non plus mes problèmes d'égo et de filles. Les filles sont pas fans des garçons comme moi. Enfin presque « ALLEECE - Je peux m'asseoir. » Même après quelques mois sur le campus, c'est la première fois qu'une fille ou même que quelqu'un ose vraiment s'asseoir à côté de moi. « KALENH - Comme tu veux, »