"Are you New, Jersey - Please, shut your front mouth"
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Sujet: "Are you New, Jersey - Please, shut your front mouth" Sam 10 Sep - 17:20
« Jersey Kaylan Ewen Lovecraft. »
NOM(S) & PRÉNOM(S) ৩Jersey Kaylan Ewen LovecraftÂGE ৩23 ansDATE & LIEU DE NAISSANCE ৩24 Mai 1988 à Oxford.STATUT CIVIL ৩CélibataireMÉTIER OU ETUDES ৩Avocat en devenirGROUPE ৩Full of courtesy, full of craft.AVATAR ৩Zachary David Alexander Efron. *-*
« give i everything »
Il est important de savoir que, comme tout homme, il faut savoir s’immiscer dans l'esprit des autres. Rien de tel que revenir à une des bases de la philosophie qui est analysé, comprendre et diagnostiquer. Sauf que personnellement, je ne me contente que d'analyser, comprendre et reproduire. Afin de mieux être perçu, il m'arrive souvent de me fondre dans le décor en essayant de comprendre les mentalités aux alentours et de voir comment fonctionne la personne en face de moi. Manipulateur ? Certes, mais contrairement à beaucoup, je suis pleinement conscient de l'être. Mais est-ce réellement un défaut de vouloir plaire ou plutôt s'intégrer ? Je ne vois aucun mal de ce côté. Néanmoins, je sais rester moi-même tout en faisant partie intégrante d'un groupe. Paradoxalement donc, je reste authentique. Il est rare de me voir hypocrite et dire ce que je pense est presque inévitable, mais je sais atténuer mes propos afin de ne pas blesser. En effet, je suis parfois protecteur car blesser pour le simple plaisir n'est pas digne d'un homme digne de ce nom. Par contre, si la personne le cherche, je prendrai un sadique plaisir à la mettre plus bas que terre. Je peux montrer réellement méchant et insensible quand la situation se présente et que mon cœur est impliqué. Que cela concerne un proche ou ma personne, cela revient au même. Je suis aimant envers mes proches, et majoritairement, ils me le rendent bien.
Fêtard ? Sans doute, mais je sais me modérer. Le plus excitant pour moi avec les fêtes, c'est de les organiser. Je suis un professionnel dans le domaine de l'organisation, et c'est presque comme une poussée d'adrénaline qui me pousse à me surpasser pour tout faire bien. J'avoue entièrement être organisé et adorer cela, mais je préfère ne pas être un meneur en apparence. Je ne suis ni partant pour les abus de pouvoir, ni pour les mises en valeur de quelqu'un. Cependant, il arrive que certaines occasions fassent que je puisse dérober à la règle, mais l'homme est homme. Phrase surement stupide, mais qui mérite réflexion, trop de personne néglige le sens du mot "homme". On pourrait donc croire jusque-là que je ne suis qu'un petit modèle, un homme plein d'assurance et d'énergie. Je ne vous contredirai pas, mais je ne suis pas complètement un ange. Je peux faire des sales coups pour le bien de tous, mais rarement pour mon propre profil. Si jamais on me fait un sale coup par contre, je serai terriblement rancunier. Et cette dernière me pousse à réfléchir à une vengeance. C'est horrible pour moi, mais j'ai besoin d'avoir un certain sentiment de supériorité sans jamais le montrer. Cela doit confirmer pourquoi peu de gens tentent de m'embêter. Je sais me venger, et je le fais très bien. C'est pour cela qu'on me dit que je pourrai faire de la politique. Je sais ce qui est bien, ce qui est mal et j'agis toujours pour que les apparences ne soient en aucun cas trompées.
Les apparences... Une bien étrange chose, et c'est ce que j'aime sauver. Toujours paraître irréprochable ou presque, quitte à dissimuler un fond peu glorieux. Peut-être concernant les femmes me montre-je moins respectueux qu'avec mes camarades, frères et famille. J'aime les femmes, je le reconnais, et je suis un innocent séducteur. Mais c'est ce que j'aime le plus, ce qui s'en suit m'importe rarement. Certains hommes sont attirants également, et tenter l’expérience n'est pas déplaisant mais ce ne sera pas sérieux. Le sexe pourquoi pas, mais jamais la première soirée. Drôle mais en effet, j'ai des principes, et je m'y tiens assez souvent. Cela est dû à mon éducation, et j'en remercie mes parents. Quant aux relations, je suis assez effrayé. Lorsque je regarde les couples dans mes amis, il est rare que la plupart durent, mais pour la majorité, cela se termine dans les larmes et par l'adultère, et c'est exactement ce qui me rebute. Je préfère ne pas penser à ce qui pourrait arriver si je m'engage dans une quelconque relation, donc je préfère vivre l'instant présent, et voir où il aboutit tout en évitant de laisser mes sentiments me submerger. C'est souvent lors des soirées entre confréries que j'en rencontre, et beaucoup sont légèrement pompettes. L'alcool ? Je me modère, et aucune drogue, ou quelques chichons de temps à autre et discrètement. Je préfère éviter que l'on porte trop attention à ce genre de petit détail. Je sais que cela n'entrave pas mon activité cérébrale et ma réflexion. Je suis sérieux dans mon travail, et je sais parfaitement faire la part des choses. Pour dernière chose, il est primordiale de dire que je suis parfois impulsif mais surtout imprévisible. Je sais parfaitement gérer les catastrophes de dernière minute, ce qui me rend débrouillard. Rare pour un homme, je vous l'accorde, mais il faut bien des exceptions.
Hep ! Toi là t'es qui ?
PSEUDO/PRÉNOMS ৩JimmyÂGE ৩18 ans depuis peu OU AS TU CONNU LE FORUM ? ৩Bazzart. EST-CE-QU'IL TE PLAIT ? ৩Ouais ouais ouais ! UN DERNIER MOT? ৩J'aime les cookies
Dernière édition par Jersey K. Lovecraft le Sam 10 Sep - 19:53, édité 7 fois
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Sujet: Re: "Are you New, Jersey - Please, shut your front mouth" Sam 10 Sep - 17:20
« Love me, suck me, leave me. »
« once upon a time »
Je me souviendrai toujours de mon entrée en université, ou de ma seconde année tout du moins. Un souvenir marquant et pourtant...
Une foule presque incroyable venait d'embarquer à bord d'Oméga Express. Le président de la confrérie, au centre des élèves souriait paisiblement aux nouveaux arrivants, entre ceux qui regardaient l'intérieur avec envie, avec surprise, et ceux qui stressaient, faisant craquer leurs doigts et mordant la peau de leurs doigts avec une discrétion pitoyable. Après avoir réclamé le silence avec gentillesse, le président entama un de ces discours afin de se présenter lui, suivit de l'université puis de la confrérie. J'étais à sa gauche, et cela me plaisait. En effet, j'étais seulement là depuis un an, mais mon organisation, ma créativité et mon bon sens, sans compter ma répartie intelligente et réfléchie, me permit d'avoir rapidement gagné le cœur des membres de la confrérie l'année précédente, après le bizutage et quelques mois pour faire mes preuves. Cette année était un véritable défi, et j'y avais songé pendant toutes les vacances. En apparence, je souriais avec sérieux et jovialité, mais au fond, je cachais un léger stresse presque prenant. Puis, l'homme que j'épaulais finit son discours et posa son regard sur moi. Je compris qu'il était temps que j'intervienne, c'était mon tour. Je me raclai alors la gorge avant de regarder l'assemblée des nouveaux venus, prêt à tout dévoiler ou presque.
« Bonjour et bienvenue à tous en cette rentrée prometteuse » déclarai-je en premier lieu, « Vous avez dû, grâce à notre président que voici, ce que nous allions vous demander et surtout ce que nous attendons de vous. De quoi vous allez devoir faire preuve » J’arpentais du regard tous ces prétendants avec une attention ferme et avec sérieux. « Oméga Chi Delta est la confrérie la plus populaire du campus. Vous avez certainement dû en parler, sinon, vous ne serez pas là ou alors, vous êtes véritablement perdus » dis-je finalement avant de feindre un rire. Quelques petits ricanements se firent entendre, comme pour m'accompagner dans mes dires. « La première semaine de bizutage vous paraîtra longue, et difficile mais c'est ainsi que nous testerons votre volonté mais également l'entraide que vous pouvez fournir à autrui, car à Oméga Chi Delta, nous sommes tous frères, et entre frères, nous nous entraidons. Qui je suis ? Jersey Kaylan Lovecraft, le responsable sociale de la confrérie. » Je pesais entièrement mes mots, et je venais finalement de me présenter. Le faire en tout premier était inutile, car les personnes n'en prendraient aucunement compte. Je savais qu'à présent, ils retiendraient mon prénom, et si jamais tel n'était pas le cas, j'allais m'assurer que cela allait l'être. « Vous pourrez me demander conseils, et je serai votre intermédiaire entre vous et le président de Oméga Chi Delta, si jamais vous avez peur qu'il vous mange, mais rassurez-vous-, il ne le fera qu'une fois que vous prouverai que vous avez du cran » continuai-je dans un rire. Les nouveaux me suivaient, et cela m'encourageait d'autant plus à continuer. « Comme notre président l'a clairement expliqué, nous allons tester vos valeurs, mais également votre courage et votre assurance, car à Oméga Chi Delta, nous ne prenons que les meilleurs, mais il est évident que parmi vous se cachent de véritables membres, mais ce sera à nous d'en juger. » Au lieu d'être ferme et avec ce faux air arrogant dont notre président usait, et qui nous faisait rire lui et moi, j'essayais de paraître cool mais sérieux. Tout un défi finalement. Après quelques annonces du même style, je finis par me taire en terminant par rendre hommage à la confrérie, la meilleure de toutes celles du campus. Je venais de réussir mon entrée en matière, et le clin d'œil discret du président me conforta dans cette idée. Cela était drôle qu'il me fasse confiance, mais cela devait avoir un lien avec le fait qu'il ait soutenu ma candidature. Il doit savoir que sa place ne m'intéresse nullement. Au fond, les gens peuvent le trouver tyrannique parfois, mais c'est simplement pour le bien d'Oméga Chi Delta. Et le bien de la confrérie passe avant tout, même si parfois, les circonstances penchent la balance en sa défaveur.
La foule commençait à s'agiter, la réunion venait de se terminer, et les nouveaux étaient conviés au premier étage afin de fêter la confrérie et peut-être leur future venue. En pleine conversation avec le président, un petit groupe vint nous interpeller afin de s'entretenir avec lui. Après m'être éloigné, je fis volte-face à un nouvel étudiant, gêné, qui désirait en savoir plus sur l'université, et comment j'avais bien pu faire pour entrer ici. Je lui souris comme première réponse, et roulai brièvement des yeux afin de me souvenir de l'année passée « Et bien, j'ai fait mes preuves tout simplement... Bien entendu, mon statut social a aidé... Non, je plaisante ! Ici, les valeurs prônent, mais il est vrai qu'il faut avoir une certaine puissance sociale » Alterner entre sérieux, rire puis sérieux à nouveau était un exercice d'improvisation presque inné. On aurait pu me trouver parfait pour être acteur, mais ce métier était loin d'être intéressant à mes yeux, du moins, cela ne me passionnait pas. Quant à ce que je venais de lui dire, avais-je véritablement ri ? Pendant un cours instant, je revenais à ce qui m'avait amené ici. La popularité ? Peut-être. Oxford University était une université réputée, et c'était par à peu près tout le monde j'en avais entendu parler tout comme mes parents. Edwin, Mon père était tourmenté par ce nom de famille, celui d'un romancier de fictions fantastiques célèbres qui le poussa également à écrire des livres basé sur la psychologie. Journaliste amateur, il désirait rassembler plusieurs témoignages de psychologues, et c'est ainsi qu'il rencontra ma mère, Serena. L'amour fou, l'étincelle, il s'aimèrent dès le premier regard, et ne se sont pas lâchés une seule fois. Ils se sont toujours compris, et même s'ils s'opposent par moments, ils ne sont jamais réellement disputés. Et cela avait un rapport avec moi, je le savais. Il fallait dire, j'allais apprendre que ma mère était stérile et que son plus grand désir était qu'elle puisse gagner ce droit de donner la vie, de la porter en son ventre. Ils ne voulaient pas paraître triste devant les autres. Le mot d'ordre ? Apparence. Il fallait sourire, et prétendre que tout allait bien dans le meilleur des mondes afin que les voisins ne fouinent pas dans nos affaires. Cela empêchait par moment, mais la nature humaine est bien trop curieuse. Bien entendu, mes parents m'ont appris à me taire, et à garder secret ce qui était bénéfique pour moi à garder dans l'ombre. De cela, je devins maniaque. Ranger, organiser, tout était une affaire d'organisation et de propreté. J'avais peur, mais je ne savais pas encore pourquoi.
Hampton Roads SDA School. Une école pour le moins bourgeoise mais extrêmement bonne. L'éducation était ni laxiste, ni stricte mais nous apprenions de réels valeurs. Je me souviens m'être montré organisé déjà à cette époque. Je marchais sur les pas de mon père que j'admirai beaucoup. Il était mon modèle et mon protecteur. Il m'avait appris à me défendre verbalement et même physiquement, si je dois à quelqu'un ma réussite dans la vie, c'est bien à lui. Je n'étais pas isolé, bien au contraire. J'étais un sale petit clown qui plaisait à tout le monde et qui réussissais dans ses études, mais cela était tout à fait classique pour un jeune en primaire. Lindsay Middle School ensuite, comme collège. Pour une fois, je n'avais pas suivi mon père mais mes parents désiraient m'envoyer ailleurs. Ils pensaient que je me forgerai et serai plus indépendant. Ce qui fut le cas, bien entendu. Jamais je n'aurai voulu les décevoir mais la réciproque n'était pas de mise. Je voyais bien que mes parents n'étaient pas vraiment sincères, et que j’ignorais bien des choses sur mon passé. Je savais déjà qu'ils n'étaient pas mes vrais parents, depuis peu, mais il semblaient savoir qui ils étaient. C'est là que leurs regards se firent fuyants, lorsque je me mis à leur poser des questions. Des questions embarrassantes et dérangeantes. Puis, une fois en obligation d'aller au lycée, et Phenix High School m'ouvrit ses portes. Je me jetais à corps perdu dans ce nouveau tournant de ma vie, et espérais en finir rapidement afin d'entrer à la prestigieuse Oxford University. Mon père, mes amis et plusieurs connaissances m'en parlaient, et je ne rêvais que d'intégrer une confrérie afin de pouvoir réellement m'ouvrir aux autres, et m'éloigner de ma famille Besoin de liberté, sans compter les hormones qui jouent. Une envie irrévocable me poussait à vivre seul, loin de tout ceux que je connaissais. Si une chose avait été confirmée à cette période, c'était que j'étais loin d'être sentimentale. Les attaches faciles n'étaient pas mon truc, et je n'avais pas de vrais amis, juste des personnes qui pensaient l'être pour moi. Même si la déception a du leur être fatal, je ne pouvais faire autrement. Je ne songeais qu'aux études, purement et simplement. C'est d'ailleurs à cette époque que je rencontrai cette jeune blonde. Une pétillante femme un peu détachée du reste, presque seule mais populaire, elle me donnait une impression vide qui donnait beaucoup d'amour. Elle m'attirait, inexplicablement et elle m'apprit à rouvrir un peu mon cœur. J'avais tourné plutôt mal, un vrai rebelle qui se fichait des autres et en même temps s'amusaient avec eux Et elle me guérit, part des regards, des sourires et quelques paroles rassurantes. Il fallait que je me l'avoue, j'étais tombé amoureux. Malheureusement, chaque chose a une fin, et je dus me rendre à l'université tant rêvé. Premièrement, les études étaient impressionnantes sans compter que je pouvais enfin vivre seul. J'allais être plus dépendant, ce dont je rêvais. Le paradis allait enfin m'accueillir.
Oxford University, sans doute l'une des universités la plus réputée des États-Unis. J'eus beaucoup de chance de vivre à Oxford, juste à quelques quartiers d'elle. Le premier jour, j'étais terriblement stressé à l'idée de ne pas arriver à me faire une place et surtout de ne pas trouver une confrérie qui me plaise. Tous ceux qui couraient dans tous le sens me faisaient peur, et on se rentrait presque les uns dans les autres. On pouvait sentir la peur, le stress et l'excitation de tous ces fous qui me rendaient encore plus nerveux. Je m'étais tourné vers un groupe d'hommes qui hurlaient de joie, et je pus comprendre qu'ils parlaient de la confrérie Omage Chi Delta. Je fronçai les sourcils tout en les suivant alors qu'ils se détachaient du reste de la masse avant d’atterrir devant la maison de la confrérie dont il parlait. Mon regard se fixait sur chaque centimètre de cette bâtisse qui m'avait fasciné la première que je l'avais vu. Après être entré en essayant de me faire discret, je me retrouvai au milieu d'une petite foule, exactement à la même place qu’occupaient ceux qui m'écoutaient un an plus tard. Je cachais mon regard impressionné et tentais de me détendre en me répétant quelques phrases de relaxation. Daniel, un nouvel étudiant fort prometteur, était juste à côté de moi. D'un seul coup, nos yeux se croisèrent et nous nous lançâmes un sourire presque gêné. Dès lors, nous nous étions liés. La semaine de bizutage fut intense et véritablement désagréable. Le sadisme dont les anciens faisaient preuve était incroyable mais j'avais tenu réellement bon. J'avais supporté Daniel dans sa présidence, pendant que lui me soutenait pour ma candidature comme responsable social. Pour tout dire, nous avions réellement tissé un lien amical et il était un peu le chouchou. Puis, avant la fin d'année, il fit finalement l’unanimité auprès de tous, fort, loyal et imposant. La fin d'année fut pour le moins mouvementé, en raison des problèmes internes entre notre confrérie et les Kappa Tau Gamma. Une bien étrange rivalité avait naquit entre eux, plus qu'avec les autres confréries, et cela m'avait toujours surpris. Néanmoins, bien que j’eus quelques relations là-bas, j'évitais de trop me lier de peur de ne plus avoir de respect pour ma maison, les Oméga Chi Delta. Et cette nouvelle année s'annonçait comme passionnante. Je lâchai un sourire, et revenais à moi. Le nouveau en face de moi me regardait avec interrogation, ayant remarqué mon absence. D'un coup de tête j'acquiesçais ses dires sans y avoir réellement fait attention, puis il reprit son petit discours plein de bonne volonté. Je trouvais cela honorable et réellement amusant, mais ce n'est pas cela qui le sauverait de quoique ce soit. « Je resterai présent si jamais tu as besoin, mais n'oublie pas qu'une certaine indépendance est tout aussi bien apprécié. » lui répondis-je en mimant un clin d'œil. Il partit finalement vers Daniel, le sourire aux lèvres et presque soulagé. Je le regardai alors partit, songeant à comment j'avais réagi l'année dernière et comment je m'étais senti. Il avait du potentiel, cela était clair, mais je savais qu'il fallait qu'il ait de l'argent s'il désirait réellement s'imposer. Je me redressai et rejoignais alors le premier étage. Il était temps que j'aide les nouveaux à s'intégrer ainsi qu'à comprendre le fonctionnement de la confrérie.
Mais l'université n'est pas encore terminé pour moi. Un an plus tard, puis deux. Toujours à poursuivre mon rêve de devenir avocat, après avoir hésité entre étudier plus profondément la mythologie ou être politicien. Je m'en sors bien, très bien même. Mais seul l'avenir décidera si oui ou non je suis digne de la destinée que je me trace.
Dernière édition par Jersey K. Lovecraft le Dim 11 Sep - 21:15, édité 8 fois