rayann Ҩ s'il te plaît prend ma main, ne te fais plus attendre.
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Rayann E. Stevens
► papotages : 9 ► emménagement : 29/10/2011
Sujet: rayann Ҩ s'il te plaît prend ma main, ne te fais plus attendre. Sam 29 Oct - 12:42
« RAYANN EDWARD STEVENS. »
NOM(S) & PRÉNOM(S) ৩rayann edward stevensÂGE ৩vingt-deux ansDATE & LIEU DE NAISSANCE ৩né à Londres le vingt juin juillet.STATUT CIVIL ৩célibataireMÉTIER OU ETUDES ৩étudiant en lettres antiquesGROUPE ৩full of courtesy, full of craft.AVATAR ৩le ténébreux tyler posey
« give i everything »
Rayann a peur des escargots ৩ il ne fume pas et ne boit jamais avec excès, ce qui lui vaut le surnom de « petit saint » par les membres de son équipe de la cross. ৩ il est toujours puceau et se réserve pour la bonne fille ৩ totalement hétérosexuel ৩ il a deux tatouages : un sur le bras et des masques italiens de la comedia del’arte sur le torse, au niveau des côtes. ৩ il n’aime pas son deuxième prénom surtout depuis la sortie de Twilight ৩ c’est une vrai femme d’intérieur, la saleté l’insupporte au plus haut point si bien que son premier réflexe en rentrant le soir, c’est de passer l’aspirateur même si il y a du personnel payé pour cela ৩ Rayann ne sait pas nager. ৩ Il est fan du groupe Muse qu’il rêve d’aller voir en concert.
« once upon a time »
Arthur Stevens grimpa sur l’estrade, une flûte de champagne à la main. Fier comme un chef de parler devant tout ce beau monde, c’était un homme orgueilleux qui aimait se donner en spectacle. Prouver son importance aux yeux de la société, prouver qu’un garçon des rues défavorisées pouvait réussir. Il déposa le verre de champagne sur la petite tablette et adopta un ton péremptoire. « Aujourd’hui, nous fêtons les dix ans de la société Stevens. Cette société née de rien est devenue l’un des fleurons de notre capitale avec près de trois hôtel qui ne désemplissent pas. J’ai travaillé corps et âmes pendant des mois, des années pour que vous connaissiez ma chaîne d’hôtels telle qu’elle. Aujourd’hui, la société prend un nouvel envol à travers ma famille. Ce soir, je vous ai tous réunis, amis et proches collaborateurs, pour vous présenter celui qui, dans une dizaine d’années, me succédera. Vous présentez Rayann, mon fils, que Leenah, mon adorable épouse, a mis au monde il y a un peu moins de deux semaines. Mon fils, c’est mon avenir mais aussi le vôtre. ». L’avenir de Rayann était tout tracé. Il devait grandir, faire de brillantes études, décrocher une bourse et reprendre cette société qui appartenait à son père. Son Destin était déjà écrit par son père ; au crayon de papier. Le courage et la persévérance du jeune homme serait sa gomme, son issu pour échapper à cet avenir écrit.
৩
Rayann était assis à une table, une chope de bière dans la main. Entourés de ses équipiers de la crosse, il cherchait à éviter leurs questions. Bien trop curieux, ses « frères » voulaient en savoir plus sur sa vie privée dont il ne parlait jamais. Aux yeux de Rayann, il n’y avait pas grand-chose à raconter. Il avait vécu dans le luxe le plus complet depuis la nuit des temps. Ils insistaient. Le jeune capitaine soupira avant de répondre, d’un ton empli de lassitude : « vous voulez que je vous dises quoi, les mecs ? J’ai grandis à Londres jusqu’à mes sept ans. Je vivais avec ma mère dans une des suites d’un hôtel dirigé par mon père. Je n’ai presque aucun souvenir d’enfance avec ce dernier. Je ne me souviens pas d’avoir joué au football avec lui. La seule chose dont je me souvienne avec précision c’est le putain d’mal aux pattes que j’avais quand je suivais ma mère dans ses boutiques de luxe. J’ai été éduqué par cette dernière jusqu’à ce qu’elle meurt quelques mois après mon huitième anniversaire. ». Rayann n’appréciait pas le fait de parler de son passé. Cela impliquait la solitude dans laquelle il avait vécu avec sa mère mais aussi la mort de cette dernière. Parler de cela, c’était douloureux. Après tout, il n’était qu’un gosse de riche qui avait tout pour être heureux, du moins, en apparence. Car derrière les sourires se cachaient une souffrance sans égale. Chaque fois qu’il se replongeait dans son passé, à l’époque où il vivait à Londres, Rayann revoyait ce jour où il était rentré dans la suite. Où il avait découvert le corps inerte de sa mère suspendue au lustre par un drap blanc maculé de sang. Il se souvenait s’être assis devant la dépouille à pleurer. A pleurer cette solitude dans laquelle, désormais, il allait vivre. Parce que sa mère, sa seule alliée, sa meilleure amie, avait mis fin à ses jours, ne supportant plus le monde hypocrite qui l’entourait. Middleton Hill, s'était une nouvelle vie qui s'offrait à lui, la nouvelle cible de son père qui désirait implanter des hôtels à Oxford.
৩
« Rayann Edward Stevens ». Le jeune homme leva la tête de son bouquin pour poser son regard sur son père, manifestement très en colère. Il soupira, sachant déjà de quoi il était question. Reprendre la société de ce dernier. Mais était-ce l’avenir que Rayann voulait ? « Pourquoi ? Pourquoi tu veux détruire tout ce que j’ai construit pour toi, mon fils unique ? ». « Parce que ce n’est pas ce que je veux. Ce n’est pas ce qui me rendra heureux, je le sais. ». Le bonheur, Rayann avait une conception bien à lui de ce terme. Et aucun autre mot comme « hôtel » ou « pdg » n’était inclus dedans. Lui, son avenir, il le voyait dans une bibliothèque, entouré d’ouvrages antiques et mythologiques, sa passion depuis des années. Il avait quinze ans, il était jeune et insouciant. Il n’avait pas les épaules pour supporter le poids d’un travail comme celui qu’exerçait son père. Mais surtout, Rayann n’était pas ce dernier. « Parce que tu penses réussir ta vie en jouant à la cross et en lisant des bouquins sur des hommes morts et des dieux inexistants ? ». « Tu as bien réussi ta vie en faisant dormir les gens alors oui, je pense réussir ma propre entreprise. »
৩
Cela faisait désormais des années que Rayann se battait avec son père pour lui faire comprendre que reprendre l’entreprise, ce n’était pas ce qu’il voulait. Il avait maintenant vingt-deux ans, étudiait les lettres antiques à la faculté et dirigeait l’équipe de la cross. « Allez les mecs, du nerf merde ! On ne va pas gagner le championnat en s’entraînant comme ça… » Cria Rayann en tenant sa crosse et en ravissant son casque sur sa tête. Avec vigueur, il tira dans la balle. « Balle perdue, Stevens ! C’est toi la merde, ouais » ricana Ivy, qui convoitait sa place de capitaine. Rayann leva les yeux au ciel avant de constater que sa balle perdue avait heurté Anastazia, une mystérieuse étudiante qui lisait sur les bancs du terrain. Posant sa protection et sa crosse au sol, il se mit à courir à petites foulées vers sa victime et se confondit en excuses, la balle dans la main. « Pour me faire pardonner, je peux t’inviter à déjeuner avec moi ce midi ? » . (…). « Qu’est ce qu’il fait à traîner avec une fille insignifiante comme elle ? ». Parce qu’elle était simple et naturelle, tout simplement.
৩
Un baiser. Rayann avait dérobé un baiser d’Anastazia au cinéma. Il était heureux. Le jeune homme s’allongea dans son lit, un sourire niais aux lèvres. Lentement, ses doigts caressèrent ses lèvres. Cette fille était magique ou du moins, l’effet qu’elle produisait sur lui l’était. Cela faisait des semaines qu’il cherchait à en apprendre plus sur la charismatique Anastazia. Des semaines que des sentiments grandissaient en lui, à gauche de son torse. Plus le temps à ses côtés passait, plus le jeune étudiant avait la certitude que quelque chose de bien pouvait lui arriver, aux côtés de la brune. Amoureux, il était en train de le devenir (a).
« behind the screen »
PSEUDO/PRÉNOMS ৩JackÂGE ৩17 ansOU AS TU CONNU LE FORUM ? ৩par le biais de Bazzart EST-CE-QU'IL TE PLAIT ? ৩il rocks grave, ouais TEMPS DE CONNEXION ৩6/7 jours sauf en période de partiels, études obligent.UN DERNIER MOT? ৩je bénis anastazia d'avoir fait ce scénario (a)
Dernière édition par Rayann E. Stevens le Sam 29 Oct - 18:17, édité 9 fois