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 ARIZONÀ ► tu dois admettre qu'il est possible que dieu ne t’aime pas du tout.

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Arizonà-Robyn Oxburry

Arizonà-Robyn Oxburry

ADMINISTRATRICE cette fille c’est un prédateur déguisé en caniche !


Masculin
► papotages : 417
► emménagement : 27/08/2011
► célébrité : ninaMAGICdobrev.
► humeur : happy.
► jukebox : set the fire to the rain - adele.


More about you.
☞ mes relations.:
ARIZONÀ ► tu dois admettre qu'il est possible que dieu ne t’aime pas du tout. Empty
MessageSujet: ARIZONÀ ► tu dois admettre qu'il est possible que dieu ne t’aime pas du tout.   ARIZONÀ ► tu dois admettre qu'il est possible que dieu ne t’aime pas du tout. EmptyJeu 27 Oct - 16:26


« arizonà-robyn joyce oxburry. »


NOM(S) & PRÉNOM(S) ৩ elle s'appelle arizonà-robn joyce oxburry. on ignore encore ce qui est arrivé aux parents pour qu'ils décident de lui donner ce nom. peut être qu'elle avait trop crié lors de l'accouchement, du coup hop j'te colle un nom bien chiant, bien long et bien compliqué à écrire, tu l'as pour toute ta vie, AHAH! non, sérieux, elle préfère arizonà, en plus c'est joli, ça fait chaud au coeur. mais pourquoi y'a cet accent moche au à ? ÂGE ৩ à présent, mademoiselle oxburry a vingt quatre ans. elle a quitté papa et maman il y a deux ans, il était peut être temps. DATE & LIEU DE NAISSANCE ৩ elle est née un certain vendredi treize avril mille neuf cent quatre vingt sept. bien chiant à lire quand on l'écrit en lettres, hein ?! génial. STATUT CIVIL ৩ à votre avis ? une si jolie fille comme elle, mince, svelte et sportive ? non ?! ... célibataire, pardi! De toute façon, ce sont toujours les plus moches qui ont des copains avant. MÉTIER OU ETUDES ৩ si il y a une chose auquel la jolie brune attache beaucoup d'importances, ce sont ses études. elle souhaite devenir médecin, et pour ça, faut qu'elle travaille la p'tite. à côté de la fac de médecine, son petit boulot du moment est.. serveuse, pour bien faire dans l'original. ça ne lui plait pas trop, de servir les gens en se renversant le trois quart du plateau sur elle, mais bon, si elle veut gagner sa vie, c'est comme ça et pas autrement... GROUPE ৩ he who never climb'd, never fell. (...) bah quoi ? vous vous attendez à quoi d'autre ? elle gagne pas énormément d'argent, elle n'arrive pas à paraître normale et elle n'a pas de gosses. et puis, la reine de la maladresse, c'est bien elle... AVATAR ৩ arizonà est interprétée par la jolie nina dobrev. tout simplement parce qu'elle correspond bien au personnage que je me suis fais de miss catastrophe !




« behind the screen »

PSEUDO/PRÉNOMS ৩ sur bazzart, je suis connue sous le nom de ©️freaky.soul. enfin connue, c'est un bien grand mot, personne ne me connait là bas. ce que je veux dire, c'est que... ouais, bon, on s'en fou. sinon, je m'appelle clémence, mais privilégiez clém, pitié. ÂGE ৩ j'ai trois mille cent ans, ouais ouais. non, sans blague, j'ai quinze ans. hé oui, j'suis une jeunette moi ! OU AS TU CONNU LE FORUM ? ৩ c'est arnold schwarzenegger qui m'a appelée hier. bon, il en a profité pour faire un peu de la pub, tout ça quoi ! plutôt sympa comme type. EST-CE-QU'IL TE PLAIT ? ৩ qui ? arnold ? bah krément ouais ! TEMPS DE CONNEXION ৩ toujours au poste, m'dame ! UN DERNIER MOT? ৩ kiss, peace, cheese, j'vous keaf ! (normalement ça rime si on va vite. Wink byyye !)




Dernière édition par Arizonà-Robyn Oxburry le Ven 28 Oct - 9:58, édité 3 fois
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Arizonà-Robyn Oxburry

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MessageSujet: Re: ARIZONÀ ► tu dois admettre qu'il est possible que dieu ne t’aime pas du tout.   ARIZONÀ ► tu dois admettre qu'il est possible que dieu ne t’aime pas du tout. EmptyJeu 27 Oct - 16:46





« loser like me. »


J’ai jamais eu de chances. C’est vrai quoi, pourquoi, ayant une chance sur 6 milliards, je suis née en Alaska, dans un état où on se pèle le cul et où on a l’impression qu’à tout moment nos orteils vont se briser ? Pourquoi je n’ai jamais eu de chances dans ma vie ? Entre mes parents divorcés, mon père qui se trouve un penchant pour les hommes et moi qui me voit dire à mes copines de sept ans que j’ai deux papas, et qu’ils s’aiment comme des amoureux. Non, je n’ai jamais eu de chances. Sinon pourquoi à chaque fois que je vais dans un supermarché avec 10€ dans les poches, je tombe sur un total de 10,02€ ? Sinon pourquoi j’ai toujours le don de me faire flasher sur un radar à 91km/h alors qu’il fallait rouler à 90 ? Des fois, j’ai des envies de suicide, vous savez. Mais je crois que ma malchance légendaire m’a toujours suivis. Dès le début de ma vie, dès ma naissance, les galères ont commencé.

« Ma petite chérie, ton papa et moi avons une chose très importante à te dire… » Je vous l’ai dis, les merde ont commencé dès mon enfance. Je n’avais que sept ans à l’époque, et suite à cette annonce, je me demandais déjà comment expliquer à mes copines pourquoi j’avais deux papas, et une maman qui n’habitait plus chez nous. Oui, mes parents se sont séparés d’un commun accord, mon paternel ayant découvert en lui un penchant pour les hommes. Le pire, ou peut être le meilleur, c’est qu’au lieu d’avoir des parents normaux, qui se cacheraient dessus à chaque fois qu’ils se verraient, étaient tout au contraire en très bons termes, se faisant de temps à autre un bowling ensembles, avec le nouveau compagnon de ma maternel, et celui de mon père. Ce fut donc dans cette ambiance assez joyeuse et maladroite que j’ai grandis. Déjà à cet âge, je possédais une grande ouverture d’esprit, contrairement aux gamines de mon âge.



« unlucky me. »


« Tu accepterais, par hasard, d’être ma cavalière pour le bal de samedi ? » La seule chance que j’ai eu dans toute ma vie, à part avoir des parents formidables, fut d’avoir un physique assez avantageux. J’étais assez jolie, c’est vrai. Bon, je n’avais rien à voir avec ces grandes blondes à forte poitrine, mais papa me l’avait assez répété, j’avais un très joli visage. Je remercie encore Dieu de m’avoir donné ce physique. Malheureusement, je n’ai jamais réussis à exploiter ce dernier, du moins pas durant toute mon adolescence. Jusqu’à mes vingt ans, je suis toujours restée célibataire. Certes, j’avais déjà essayé, comme cette fois où, quand j’avais seize balais, il m’avait demandé de l’accompagner au bal de fin d’année. Raphaël était l’un des plus beaux garçons du lycée. Le genre de mec intouchable, et qui m’avait toujours paru loin, très loin de moi. Pourtant, ce fut vers moi qu’il se dirigea pour me proposer d’être sa cavalière. Bien entendue, j’avais accepté, en essayant d’allonger des mots bafouillés, dans l’espoir de réussir à former une phrase correcte avec un sujet, un verbe et un adverbe. Il m’avait souris, je le lui avais rendu, et il était parti. Ce samedi là, j’étais prête. Une jolie robe écrue, des cheveux attachés, bouclés et maman m’avait maquillée pour l’occasion. C’est en descendant les marches de l’escalier menant vers ma chambre que je trébuchai, me cassant le pied droit par la même occasion. Résultats, sous l’emprise de la douleur, les larmes avaient coulé, mon maquillage aussi par la même occasion, j’avais déchiré un bout de ma magnifique robe, et j’avais détruit mon chignon en un coup de main. Ce soir-là, j’ai cru que j’allais mourir. Et que j’allais d’abord tuer ces foutues marches. Avant de me rendre compte que tout était de ma faute. Je n’ai jamais eu de chances, je vous l’ai dis. Maladresse et malchance, tels sont ce qui me caractérisent, à présent.



« sweet little girl. »


« Ma petite chérie… Demain, tu vas avoir vingt deux ans… » J’avais un large sourire, heureuse à l’idée de fêter mon énième anniversaire en compagnie de ma mère, mon père, mon beau-père et de mon beau-père². Une petite fête entre nous, où Maman me ferait la tarte aux carambars au caramel que j’aime tant, où Papa me fera valser jusqu’au lever du jour. Mais cette vision de l’anniversaire habituel que j’avais l’habitude de fêter n’était étrangement pas partagée, cette fois-ci. Mon paternel me regardait d’un air triste, et Beau-Papa lui tenait la main, comme pour l’encourager. « Oui, ça passe tellement vite, Papa ! » J’avais souris, encore une fois, et il affichait une mine découragée. « C’est justement ça que je voulais dire… Ca passe réellement trop vite, ma puce… Tu sais, je vais bientôt avoir quarante huit ans, et j’ai envie d’être aux côtés de mon ami, maintenant… Tu… tu comprends ma belle ? » Le plafond m’était tombé dessus. Comme ça, d’un coup. BAM! Un coup de massu. J’avais baissé les yeux. Il m’avait attrapé la main, Julian, mon beau-papa, en avait fait de même avec l’autre. « Tu viendras nous voir quand tu le peux ma princesse ! » m’avait-il dit, lui aussi. Maintenant qu’ils s’y mettaient tous les deux, j’avais réellement l’impression de me faire foutre dehors. Mais c’est avec une mine penaude que je leur avais déclaré que je comprenais, et que j’allais tenter de me trouver un appartement. Je faisais des études de médecine, à cette époque, -et j’en fais encore, certes-, mais me trouver un studio où m’installer fut assez rapide. Mes parents, ayant des revenus plutôt sympathiques, pouvaient m’offrir de quoi payer mon loyer, ainsi que mes études. Alors je décidais de quitter l’Alaska pour un endroit… beaucoup plus chaud. L'Italie semblait être pour moi le bonheur à l’état pur. Alors j’ai pris l’avion, embarquant avec moi ma malchance et ma maladresse. Chose que je remarquai quand je posai les pieds en Angleterre, à Oxford. Ohoh. Comme une impression d’avoir loupé le bon avion. Yahou.
Pourtant, je décidai de rester là bas. L’ambiance qui émanait de cette ville me rendait heureuse, et malgré que je sois une looseuse née, j’ai tout de même réussis à m’installer, à finir mes études pour devenir infirmière et me faire un plutôt bon salaire. Et ça fait deux ans que je suis ici. Comme quoi, je ne suis quand même pas à tuer, hein ! Après, question vie sentimentale… C’est une autre histoire…



« my life would suck without you. »


Je l’ai rencontré à l’aéroport, en débarquant à Oxford. J’avais cette mine paniquée à l’idée d’avoir raté et m’être trompée d’avion. Au lieu d’atterrir en Italie, j’étais arrivée en Angleterre, génial.
Mon portable à la main, je tentai tant bien que mal de déchiffrer une carte routière que j’avais dégoté dans mon sac sans l’avoir mis. Sûrement Julian et son goût pour tout ce qui est rangé et ordonné. Avoir une carte dans son sac était comme primordiale pour lui. Enfin, tous les trucs auquel je ne pense jamais. C’est donc en tournant dans tous les sens le grand dépliant que je basculai sur quelqu’un, assez fort pour que je puisse tomber à la renverse et me faire mal aux fesses. « Aïïïeuh ! » Un gémissement plaintif et une moue au visage, j’avais levé les yeux vers la personne que j’avais heurté et… Cet homme était beau comme un Dieu. Ses cheveux bruns, en pagailles, ses yeux bleus perçants et son sourire désolé. Il était divinement beau. Divinement canon. Admirable. Séduisant. Charmant. Craquant. Bref, c’était une bombe. Et mes yeux pétillants me trahirent rapidement. Tant pis. De toute façon, j’étais assez maladroite comme ça, alors une gaffe de plus ou de moins.
Avec une mine amusée, il me tendit la main, avant de me lever doucement. « Excusez-moi, mademoiselle ! Je ne faisais pas attention où j’allais… » J’avais souris. Pour la première fois de ma vie, je m’appliquai pour ne pas faire de gaffes, de paraître normal. Ne pas le faire fuir. Il paraissait si parfait, si… winner ? « Oh, non c’est moi. A vrai dire je tentais de déchiffrer cette carte, mais c’est bel et bien impossible, il me semble… » Découragée, j’avais soufflé un grand coup. Et il avait rit. Waouh. J’avais fais rire un garçon, non pas pour ma maladresse et mon manque de tact, mais plutôt parce que j’avais dis un truc marrant. Quoique c’était pas très drôle à vrai dire… Mais il avait rit ! « Si vous le souhaitez, je peux vous aider. Je connais Oxford par cœur. » Et nous nous sommes revus, plusieurs fois. Il me faisait visiter sa ville, et je tentais de paraître des plus normales. Malheureusement, ma maladresse me rattrapa et très rapidement, il se rendit bien compte de ce que j’étais : une gaffeuse. Et j’avais la misérable impression que je le faisais rire. Et ça, c’était plutôt ignoble. Pour mon égo, je veux dire.

Je ne sais pas comment est venu le fait d’envisager une colocation. A vrai dire, ça s’est fait naturellement, et ce très vite. Tous les deux, nous cherchions une compagnie, et il semblerait que l’on s’entendait plutôt bien. Mais la facette du type parfait se transforma très rapidement quand il occupa la place de coloc. A partir de ce jour, Raphaël le génial devint alors Rapha’ le gros crétin. En plus de bouffer comme quatre, il ne rangeait rien. Et c’était moi qui devait faire le boulot à sa place. Je pense que c’est au moment où je voulus me rebeller que notre cher jeu commença. Un jeu dangereux et sans fin. Un jeu qui, nous le savions tous les deux, allait nous bruler les ailes un jour ou l’autre. « Dis donc, toi qui fat le malin, va donc embrasser la copine du baraqué là bas ! Tu vois, le mec qui pèse trois cent kilos, et l’espèce de trainée blonde à pare-chocs à côté là ! » « Non, pitié, Arizonà, j’ai encore mal à l’épaule du gars de hier soir ! » « Tu refuses ? Réellement ? Tu abandonnes la partie ?! Alors j’ai ga… » « Va t'faire, j’accepte ! Mais toi, va embrasser son mec ! » « Quoi ? Mais t’es malade ?! Je… Bon, ok, j‘y vais… » Je déteste ce crétin. Cet abruti de service. Mais putain, qu’est-ce qu’il peut me rendre folle.

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