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 You were a light inside a tunnel in my head

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MessageSujet: You were a light inside a tunnel in my head   You were a light inside a tunnel in my head EmptyMar 13 Sep - 12:53

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ZEPHIRA & CASH.
Les choses prennent souvent des proportions exagérées. Rien n’arrive par hasard, on dit que « tout est écris ». Je suis de ceux qui se résignent, fataliste jusque dans la moelle. Pas la peine d’aller chercher la merde, elle vient directement à moi. Pas d’ma faute si je porte l’écriteau : « A abattre ». Tenez, ce matin : premier coup de fil, mauvaise nouvelle. Jenny, Baby-sitter en chef se décommande. Vous voulez que j’vous dise ? Même mes « Ce n’est pas sérieux » mes « Pas à la dernière minute » ou mes supplications du type : « Je t’en prie, juste aujourd’hui » n’ont pas fonctionné. A l’aube déjà, la chance avait été distribuée. Evidemment, on oublie toujours le brave Cash qui croule déjà sous la poisse depuis des mois. La vaine ne sait plus qui je suis, je m’en rends compte. Je jette un œil rapide à ce qui se passe dans la cuisine : j’aime ce que j’y vois, Devon qui lave la vaisselle. Bon, la chance n’est peut-être pas venue mais elle semble avoir envoyé sa pote : obéissance. J’entre, je m’avance, j’embrasse ma Lily sur le front, je gratifie « cretin » d’un mouvement de tête auquel s’ajoute un : « Bonjour » . C’tout, je prends mon thermos, je le remplis de caféine et je prends la route. Je précise à ce qui me sert de frérot qu’il doit surveiller la gamine, en attendant que je revienne. Ma direction ? Superette du coin, il parait que c’est l’endroit privilégié des chercheuses de job. Je lève les yeux au ciel, même le soleil me boude. Splendide. J’ai pris soin d’apporter avec moi ce qui ressemble à une annonce, une annonce à « frange », vous savez ces morceaux de papier qui dépassent disgracieusement et offrent un moyen de contacter le futur employeur ? Je connais le gérant, il m’a vu grandir et ‘faut dire ce qu’il en est : il a été présent auprès de nous depuis la mort de ma mère. Je gare ma vieille Land rover, juste en face. Je descends et me dirige vers l’établissement. Le matin, l’endroit est quasi désert. Les rayons : vides d’hommes, seulement quelques personnes qui passent par-là (achat de dernière minute ou de première minute, dépend des points de vue). Je m’arrête face à lui, je lui souris, il me salut. On échange une poignée de main : « Cash, je peux t’aider ? ». Toujours. « Justement, tu sais que Lily est spéciale, elle a besoin de quelqu’un qui puisse la rassurer. Sa baby-sitter a décidé de s’tirer en Californie, elle n’a pas jugé bon de prévenir en avance. J’suis au pied du mur. » Je reprends mon souffle pour instantanément pousser un long soupire. Les crasses arrivent en masse, ces derniers temps. Entre les factures, les heures supplémentaire que je me coltine. « Bref, aujourd’hui, je suis censé poser du carrelage chez les Maverick. Devon a cour…Tu peux mettre cette annonce quelque part où elle apparaitrait VOYANTE ». Pendant que j’y suis, autant lui régler la moitié de l’ardoise qu’il m’a accordée. « J’suis pas pressé, Cash. » Je sais mais je n’aime pas abuser. « T’inquiètes et puis, les bons comptes font les bons amis, n’est-ce pas ?» Forcé de reconnaitre la vérité de cet adage, il accepte mon paiement. Il colle mon avis de recherche juste au-dessus de la caisse. Parfois, parfois une bribe de miracle tombe du ciel. Les anges nous offrent un grain de leur lumière. Une jeune femme, une blonde, elle s’en approche. Dites-moi qu’elle est intéressée par l’annonce et pas par l’araignée qui investit le mur.
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MessageSujet: Re: You were a light inside a tunnel in my head   You were a light inside a tunnel in my head EmptyMar 13 Sep - 16:21






La journée n’aurait pas pu commencer aussi bien, Lewis était déjà partis j’étais enfin tranquillement une journée de plus. Qu’il était bon d’être universitaire et d’avoir des jours ou les profs ne sont pas là et qu’aucun n’ autre ne veuille remplacer son cours qu’il jugerais trop barbant alors que pour moi c’était tout le contraire. Après avoir paressé quelques instant dans mon lit, je décidais de me lever finalement, je n’avais pas le courage de rester au lit toute la journée et de voir une journée de congé me passer sous le nez sans en profiter. Enfilant rapidement un long t-shirt je descendais en direction de la cuisine me préparer un café bien fort pour me réveiller. Buvant une gorgée de mon café, j’ouvris le frigo où à mon grand désespoir personne n’avait fait les courses, et bien entendu c’était à moi de me le coltiner. Levant les yeux aux ciel accompagner d’un soupire d’agacement je reposais violemment ma tasse de café sur le comptoir avant de remonter les escaliers qui menait à ma chambre pour pouvoir prendre une douche, suivant d’un ravalement de façade avec du maquillage léger tout de même, une coiffure toute simple. Un ligne enroulée autour de ma poitrine je me dirigeais vers ma penderie ou j’en sortis un short, un débardeur noir et des ballerines blanche.

Enfilant tout ça, je descendais ensuite en trombe les escaliers en prenant mon sac à main au passage. Sortant les clé de ma voiture, j’ouvris avant tout le garage puis montait à l’intérieur de mon dernier bijoux que mes parents m’avaient offert quand je suis arrivée ici pour me souhaiter bonne chance pour mes cours. Une Aston Martin.

Sortant la voiture de mon allée, je démarra en trombe en direction de la supérette qui était au bout de la rue, proche en voiture trop loin pour mes petits pieds trop sensible. Après quelques minutes de voiture, je la garais à coter de la supérette, prenant mon sac mes clés je sortis de la voiture en claquant la porte. Me rapprochant de la supérette je remarquais un homme qui en sortait plutôt mignon d’ailleurs mais il n’avait pas l’air en forme, ni d’une bonne humeur, perdu dans mes pensées je manquais de lui rentrer dedans, m’écartant du mauvais chemin je fini par rentrer dans le magasin et remarqua une nouvelle annonce je n’avais pas besoin de trouver du travail, j’avais assez d’argent comme ça mais si c’est pour rendre service comme il était marquer ici sur l’annonce pour du Baby-sitting. Souriant légèrement, je saluais le gérant de la supérette avant de partir en sans inverse pour courir après le jeune homme «  S’il vous plait ! » le jeune homme s’arrêta enfin pour me faire face arriver à sa hauteur je le regardais dans les yeux «  C’est au sujet de l’annonce que vous avez mise. »
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MessageSujet: Re: You were a light inside a tunnel in my head   You were a light inside a tunnel in my head EmptyMer 14 Sep - 14:19

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ZEPHIRA & CASH.
Peu importe le pourquoi du comment, ni ce qui passe par la tête de la blondinette. Je n’ai pas assez de temps devant moi pour camper devant cette affiche à guetter ceux ou celles qui y posent l’œil. Un regard à ma montre, c’est officiel : aujourd’hui est mon dernier jour en tant qu’homme actif. Affirmatif, je vais surement aller pointer au chômage. Ce n’est pas l’bon moment. Rapide salut au gérant, dernier coup d'oeil furtif vers la demoiselle. L’espoir ne mange pas d’pain. Tant pis, je suis beaucoup trop à la bourre (je me répète, je n’y peux rien : ça m’saoule). Je pousse cette porte de sortie, j’esquisse quelques pas : je suis totalement furieux. Littéralement déçu par Jenny, à laquelle on devrait faire porter une banderole « Lâcheuse ». Je serais pour crier ma rage en plein milieu de cette rue, je serais pour taper du pied sur le sol jusqu’à me péter les métacarpes. Je serais pour tout ça à la fois et beaucoup plus encore. Seulement, je n’y peux rien : Jenny a le droit de faire sa vie sans se préoccuper du sort de Lily. Alors que je vérifie mon droit de passage, une voix ouatée m’interpelle « S’il vous plait ! » Je stoppe net, c’est parce que j’ai prié – sur le trajet menant à la superette- que l’on a exaucé mon vœux ? Je devrais prier plus souvent alors « C’est au sujet de l’annonce que vous avez mise. » YATA. Je me retiens de sauter de joie, je me retiens de sourire jusqu’aux oreilles (et pourtant ce n’est pas l’envie qui manque) simplement : j’suis trop crevé pour dépenser mon énergie à être content et puis, j’ai eu ma dose question désillusions. Elle me fait face, je croise les bras : j’évalue la carrosserie (déformation professionnelle) : elle a l’air d’avoir un corps sain, reste plus qu’elle ait l’esprit sain qui va avec. Je fronce les sourcils, allez savoir pourquoi je fais ça : j’imagine qu’il s’agit d’une manière comme une autre d’essayer de sonder son âme. Vous voulez que j’vous dise ? Je n’ai pas d’super pouvoir, niet. Je ne me démarque pas des autres, je suis un mec BANAL. Alors comme un mec banal, je n’arrive tout bonnement pas à savoir ce qu’elle pense, ce qu’elle est et par là, j’ose espérer qu’elle ne cache pas un psychopathe. Cash Havoc, note à moi-même : arrêter de regarder des films d’horreur. J’ai peut-être oublié de lui adresser la parole entre temps. Ne jamais dévisager quelqu’un, j’en perds mes bonnes manières (en supposant que j’en possède). « Dites-moi que vous êtes intéressez et que vous m’adressez la parole parce que vous aimeriez commencer sur l’heure plutôt que parce que vous êtes prof d’anglais et que vous avez remarquez que mon annonce est truffée de fautes d’orthographe, de conjugaison et de grammaire ?! » D’une seule traite, j’suis surement angoissé de perdre mon job ça combiné à l’angoisse qu’elle ne soit pas du tout opérationnelle. Visiblement, elle sourit, du moins : est-ce un sourire ? « Si vous ne vous êtes pas carapatée, j’en conclu que vous êtes vraiment intéressée par l’annonce. » Malgré moi, ce sourire récidiviste prend place sur mes lèvres : « Ma voiture est par là, allons discuter un peu ». J’attends qu’elle emboite mon pas, nous nous retrouvons bien vite face à mon tout terrain. J’attends, je suis déjà en retard de toute façon.
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MessageSujet: Re: You were a light inside a tunnel in my head   You were a light inside a tunnel in my head EmptyMer 14 Sep - 17:26






J’aurais pu passer ma journée au lit, à faire du shopping ou à tout bonnement rester chez moi et faire mes devoirs mais il a fallu aller faire des courses et une chose en entrainent une autre forcément bonne, je suis tombée sur cette petite annonce. J’avais envie de rendre service à quelqu’un et cette petite fille est tombée du ciel. Je venais à peine d’arriver que je repartais en courant en direction du parking en hurlant comme une perdue pour que ce jeune homme s’arrête, arriver à sa hauteur je lui fis comprendre que j’étais intéressée par son annonce mais il ne me répondis rien, il me regardait simplement de haut en bas, comme si il essayer de m’analyser en le voyant froncer les sourcils, je posais une main sur mes hanches en penchant la tête en le fixant dans les yeux. Je voyais qu’il était perdu dans ses pensées et pendant une seconde j’ai hésité à partir mis finalement je suis restée, je ne sais pas vraiment pourquoi pas ça se voyait qu’il avait besoin d’aide.

Quand, après quelques instant il fini par revenir à la réalité, un petit sourire se dessina sur mes lèvres «  Dites-moi que vous êtes intéressez et que vous m’adressez la parole parce que vous aimeriez commencer sur l’heure plutôt que parce que vous êtes prof d’anglais et que vous avez remarquez que mon annonce est truffée de fautes d’orthographe, de conjugaison et de grammaire ?! » baissant légèrement les yeux avant de les relever en le regardant dans les Yeux «  Oui, je suis intéressée par l’annonce que vous venez de mettre. » Je me mis à rire par rapport à la prof d’anglais, de toute façon jamais je ne pourrais faire prof, je fait trop de fautes et les fautes ne me frappes pas, enfin elle ne me saute pas dessus, bref je ne les vois pas.

«  Je peux commencer maintenant si vous voulez. » passant une main dans mes cheveux, je remis convenablement mon sac sur mon épaule. « Ma voiture est par là, allons discuter un peu  » je lui emboitait le pas en direction de sa voiture avant de m’arrêter devant la mienne en cherchant mes clés dans mon sac «  Attendez une seconde » me rapprochant de la portière avant je fermais ma voiture clé chose que j’oublie énormément souvent et je n’ai pas envie de me faire voler quelques chose, ou encore moins de me faire voler ma voiture. Revenant vers lui, il se trouvait déjà vers sa voiture, accélérant la cadence j’arrivais à sa hauteur avec un grand sourire. «  Alors vous avez des questions, si je suis une tueuse d’enfant ou autre » j’esquissais un léger sourire pour lui faire comprendre que je rigolais que jamais je ne ferais de mal à une mouche, c’est plutôt la mouche qui me ferais du mal

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MessageSujet: Re: You were a light inside a tunnel in my head   You were a light inside a tunnel in my head EmptyJeu 15 Sep - 15:52

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ZEPHIRA & CASH.
Sans préambule, je lance : « Vous êtes prête à commencer maintenant comme maintenant vous montez avec moi dans cette voiture et je vous accompagne jusqu’à chez moi ? ». Etonnant, elle accepte de travailler pour moi sans même avoir discuté des honoraires ? Elle en a dans le pantalon, la nana. « Alors vous avez des questions, si je suis une tueuse d’enfant ou autre ». Je suis réceptif à son sens de l’humour, je lui rends ce sourire divin : « De toute manière que vous soyez ou pas une tueuse d’enfant, s’il se passe quoique ce soit : je me transformerais aussi en tueur. Demandez-moi si je suis un tueur de nounou alors ? ». On éclate de rire, c’est bien la première fois depuis un bon bout de temps que je ris de cette manière-là. Qui dois-je remercier pour ce petit moment de joie ? Je me rends compte que je m’apprête à l’engager sans même connaitre son nom. Nous allons donc remédier à cela : « Avant de prévoir un plan, à qui ais-je l’honneur ? ». Zephira-Rose Windsor ? J’arque le sourcil, se pourrait-il qu’elle ait un lien de parenté avec les têtes couronnées d’Angleterre ? J’abandonne cette idée ou pas ? Fichtre, depuis quand je suis timide, hein ? « Et vous êtes la cousine au second ou au premier degré du prince Harry ? ». Je garde pour moi une remarque malvenue comme : Il était bien le mariage princier ? Et reporte mon attention sur mon cadran de montre qui me nargue impétueusement. Je reprends mon sérieux, elle me parle. Chut, Cash écoutes avec soin ce qu’elle a à te dire. Ne perds pas une miette de son discours, t’entends ? Oui, conscience de mes deux. « J’vous préviens, je ne suis pas petit-fils Rothschild. Le salaire risque d’être évolutif. Si je devais vous expliquer cela en un langage imagé, je dirais : prenez une courbe et imaginez la en dent de scie ». Graphiquement ce serait : un désastre. Un mauvais procédé économique. La mettre au parfum, c’est tout ce que je veux faire. Elle ne semble pas démontée pour autant, bon signe. Je poursuis : « Lily, ma sœur et accessoirement votre futur « protégée », suit un traitement pour son asthme. Si par malheur elle fait une de ses crises. Bref : elle vous montrera sa vantoline ». Etait-ce nécessaire d’annoncer la couleur de cette façon-là ? Peut-être aurais-je dû commencer par les avantages ? Petit hic : il n’y a aucun avantage à garder ma sœur. Mais je vais me garder de le lui dire.
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MessageSujet: Re: You were a light inside a tunnel in my head   You were a light inside a tunnel in my head EmptyJeu 15 Sep - 19:21






Suis-je inconsciente pour avoir l’idée de monter dans la voiture d’un parfait étranger « Oui je monte avec vous, je viendrai cherché ma voiture ce soir en partant » mais après tout il était la pour avoir une nounou pas pour avoir l’envie de tuer quelqu’un et quand je le vis rire à ma blague je su que nous étions sur la même longueur d’ondes des blagues foireuse. «  Vous n’êtes pas un tueur de nounou, vous avez plutôt l’air d’être un chercheur de nounou désespéré » passant une main dans mes cheveux, je regardais la voiture du jeune homme, qui ressemblais à la première voiture que j’ai eu quand nous allions dans notre deuxième maison près de New-York, reposant à nouveau les yeux sur le jeune homme en affichant un petit sourire «  Avant de prévoir un plan, à qui ais-je l’honneur ? » baissant la tête, j’avais honte de ne m’être pas présentée avant, relevant les yeux en le regardant gentiment «  Zephira-Rose Windsor et vous ? » affichant un sourire plus que vrai mais il fut vite effacer quand Cash évoqua la famille royale.

«  Et vous êtes la cousine au second ou au premier degré du prince Harry? » me mordant la lèvre, j’affichais un petite sourire gêner tentant de trouver une réponse, je passais une main dans mes cheveux. «  Je fais bien partie de la famille des princes oui, mais je ne les vois que très rarement. Vous savez que vous êtes la première personne depuis mon arrivées à avoir fait un rapprochement. » essayant de détourner le sujet par n’importe quel miracle pourvu qu’on ne continue pas sur cette pente surtout que mes cousins je ne les connais pas plus que ça, je les croises parfois quand je vais voir de la famille sur Londres. Nous étions proche en étant petit mais avec l’âge et surtout l’éloignement puisque eux habitais Londres et moi New-York les visites étaient très restreinte, pourtant ça na pas empêcher que mon cousin soie mon premier baiser. Sortant des mes pensées je l’écoutais me parler du salaire avec une petit sourire au lèvres «  J’ vous préviens, je ne suis pas petit-fils Rothschild. Le salaire risque d’être évolutif. Si je devais vous expliquer cela en un langage imagé, je dirais : prenez une courbe et imaginez la en dent de scie  » lui faisant signe de s’arrêter de parler avant de lever les yeux aux ciels «  Si je suis une Windsord, l’argent je n’en ai pas besoin, si je garde votre sœur je fais ça par plaisirs et j’ai toujours voulu avoir une fille sa m’entrainera pour le futur. » lui affichant un sourire plus que vrai, je continuais à l’écouter attentivement « Lily, ma sœur et accessoirement votre futur « protégée », suit un traitement pour son asthme. Si par malheur elle fait une de ses crises. Bref : elle vous montrera sa vantoline », passant une main dans mes cheveux je lui répondis directement «  Ma sœur était asthmatique, donc ne vous inquiétez pas je sais gérer des crises, j’en ai eu que trop l’habitude. »

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MessageSujet: Re: You were a light inside a tunnel in my head   You were a light inside a tunnel in my head EmptySam 17 Sep - 10:41

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ZEPHIRA & CASH.
« On a au moins ça en commun ». Un membre de la famille royal qui se mêle aux roturiers quitte à travailler pour un va-nu-pieds : honorable. Un énorme sourire étire mes lèvres, cette entente soudaine me surprend : c’est allé vite. Je lui tends ma main, espérant conclure un pacte en attendant que je demande à Eden de rédiger un papier : « Vous êtes un ange, Zephira ». Je le pense vraiment. Combien de personne jusqu’à présent m’ont montré leur « bons côtés » ? Trois, en la comptant parmi eux. Je tourne la clé dans la serrure de ma Land Rover et ouvre la portière : « Je vous invite à monter ? Désolé, je ne suis pas très galant ». Elle me sourit, j’aime déjà son sourire : ça illumine son visage, ça lui donne un air rassurant. « Est-ce que vous avez des requêtes ? Concernant les horaires ? » J’ai bien compris qu’elle ne fait pas cela pour l’argent mais par altruisme, je saluts sa générosité. Seulement, je préfère mettre les « points sur les i ». Je pose mon regard sur elle, juste avant de mettre le contact : « Je tiens à vous rémunérer de n’importe qu’elle manière ». Puisqu’elle n’accepte pas mon argent, peut-être accepte-t-elle mes services ? « Je bricole pas mal, je pourrais vous rendre des services quand vous en aurez besoin ». Bon deal ? Je démarre enfin, la voiture avance pour aussitôt s’arrêter : « Génial. On dirait qu’elle a décidé de faire la grève ! C’est la journée idéale, après tout. » Genre, je n’ai pas assez de problème comme ça. Je gratifie ma « nounou » (étrange, j’ai trouvé une nounou pour ma sœur, en moins d’une heure : thank God ) d’un mouvement d’épaule : « Je suis vraiment navré, ça tombe de nulle part » Malchance quand je vous disais que j’avais la guigne. J’enlève ma veste et vais voir ce qui ne va pas, j’ouvre le capot, passe la tête dessous. Le circuit de refroidissement semble bon, l’embrayage : de même. Problème de moteur ? Espérons que non auquel cas : shit. Je reviens vers la blondinette qui arque un sourcil dans ma direction : « Rien de bien grave, il me faudra une bonne heure pour réparer ça. Ça vous dérange si je vais à la superette voir s’ils ont ce dont j’ai besoin ? ». J’attends qu’elle me réponde, j’ajoute furtivement : « A moins que vous aimeriez m’accompagner ? Ça pourrait nous aider à établir les règles employeur-employé. » J’en demande beaucoup, ma sœur est une teigne au visage poupon. Il n’y a qu’avec moi, Devon et l’autre barge de Carrera qu’elle est sympathique. Remarquez, c’est peut-être pour ça que Jenny a mis les voiles ?! « Dites-moi, vous savez cuisiner ?» Comment passer du coq à l’âne par Cash, Chapitre 1 . Faites des notes dans la marge, vous allez en prendre de la graine.
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MessageSujet: Re: You were a light inside a tunnel in my head   You were a light inside a tunnel in my head EmptySam 17 Sep - 17:00






Voyant qu’il me tendait la main pour finaliser notre pacte en quelque sorte, je lui la serra en retour en affichant un grand sourire, j’étais contente de m’être trouver un travail. «  Vous êtes un ange Zephira  » baissant la tête timidement en affichant un petit sourire en coin, ça me faisait bizarre d’entendre des mots comme ça par un autre homme mais je n’y prêta plus attention, je fini par relever la tête «  Vous pouvez me dire tu, sa sera plus sympathique je pense non? » sortant mon portable du sac envoya rapidement un sms à mon fiancé pour lui dire que je ne serais pas à la maison et que je ne retrais pas avant ce soir, une fois fait je le rangeais dans mon sac, en voyant le jeune homme ouvrir sa voiture. « Je vous invite à monter ? Désoler je ne suis pas très galant. » me mettant à rigoler, je posais une main sur son épaule « Merci, mais vous êtes galant, un peu brouillon mais très galant. » montant dans la voiture, au même instant que lui de son coté. Lui souriant tendrement, j’attachais ma ceinture en l’écoutant « Je tiens à vous rémunéré de n’importe qu’elle manière », passant une main dans mes cheveux, je penchais légèrement la tête voulant lui répondre que je voulais pas avoir de l’argent mais il ne me laissa pas le temps de répondre, « Je bricole pas mal, je pourrais vous rendre des services quand vous en aurez besoin. » fermant les yeux légèrement en soupirant, je comprendrais qu’il ne lâcherais pas l’affaire tant que je n’accepte pas quelque chose en retour et comme ce jeune homme allaire vraiment très têtu il vaudrait mieux que je dise oui à quelque chose plutôt que non. «  Très bien ! J’accepte votre échange de service mais pas d’argent. » Alors qu’il venait de démarrer sa voiture elle s’arrêta quelques minutes plus tard. Le voyant sortir de sa voiture, je laissais tomber ma tête sur l’appuie tête en soupirant, il est vrai que mon éducation avait été vraiment très stricte, bourgeoise je n’aimais pas ce milieu bien entendu porter ce nom ouvre des portes magnifique, je ne serais pas à Oxford sinon. Le voyant revenir vers moi j’arquais un sourcil en le regardant « Rien de bien grave, il me faudra une bonne heure pour réparer ça. Ça vous dérange si je vais à la supérette voir s’ils ont ce dont j’ai besoin ? »ouvrant la bouche pour répondre qu’il enchaina « A moins que vous aimeriez m’accompagner ? Ça pourrait nous aider à établir les règles employeur-employé. » j’affichais à nouveau un sourire en descendant de la voiture, claquant la porte j’ajoutais «  Bien sûre je vous accompagne » commençant à marcher a ses cotés voyant la supérette devant nous «  Dites-moi ? vous savez cuisiner ? » le regardant dans les yeux je fus quelque peux surprise de sa question, je ne m’attendais pas à cette question en première a vrai dire, plutôt du curriculum vitae mais pas mes talents culinaire « Oui; je sais cuisiner toute sorte de menu et ce que les enfants aime. »


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