no one dies virgin ► lennon

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« lennon rue duma-cador. »

NOM(S) & PRÉNOM(S) ৩ lennon rue duma-cador ÂGE ৩ dix-huit ans DATE & LIEU DE NAISSANCE ৩ 23 mai, Cornouailles STATUT CIVIL ৩ célibataire MÉTIER OU ÉTUDES ৩ étudiante en droit GROUPE ৩ full of courtesy, full of craft. AVATAR ৩ kristen stewart (mais j'aime pas twilight)

« give i everything »

• Mes parents n'étaient pas d'accord sur mon prénom alors, chacun de leur côté m'ont appelé de façon différente ce qui m'a donné un prénom dont j'en suis fière. Mon père, fout de John Lennon, m'a appelé par son nom. Il pouvait passé des heures à écouter ses chansons, il les connait d'ailleurs par cœur. Se fut la première chanson que j'ai écouté et apprise dans ma vie. Rue car ma mère est amoureuse de la langue française et du pays en lui-même. Rue - bien que dans la langue originale ça fait vraiment débile - a été le premier mot qu'elle a apprit.

• Je devais une fois aller chez ma tante, j'étais avec une cousine et deux cousins, Louane, Medhi et Pierre. Au moment où mes parents sont partis j'ai pleuré comme une dingue et ai suivis leur voiture en courant avec une énorme averse qui s'abattait sur moi. J'ai du faire deux kilomètres ainsi, finalement je n'ai pas dormi chez elle et est restée avec mes parents.

• A un tatouage au poignet où est marqué en français : main dans la main. Elle en a également un au cou où est dessiné une petite fleur du nom de Lys. Et un deuxième sur le doigt en forme de bague car avant d'être prise par ses parents adoptifs, son père lui a dessiné une bague avec un crayon noir et avec le temps il c'est effacé et pour qu'il reste à graver marquer sur elle, elle l'a tatoué. Ses trois tatouages ont été fait par un japonais clandestin.

« once upon a time »

partie une. Je fixais l’horizon avec nostalgie. Mon nom était composé, Duma, la famille dans laquelle je vivais. Dans laquelle j’existais, ils m’avaient adoptés et grâce à eux j’avais de la nourriture, une école où étudier, un logement et l’affection maternelle. Je ne m’opposais à aucune des demandes de mon père adoptif, il en avait tellement fait pour moi qu’il m’était impossible de ne pas lui en vouloir même si ce qu’il faisait était malsain, hors-la-loi je me laissais faire. Récemment, ma sœur adoptive, Alyssa avait passé un accord avec Hugh, notre père adoptif. Elle recevait plus de coups de la part du paternel face à aucun attouchement sexuel. Je n’avais pas compris ce geste, ce sacrifié. Il continuerait à me faire du mal de toute évidence, mais j’avais été dans l’incapacité de faire quoi que ce soit, de manifester le moindre désaccord, me rebeller contre son geste. Peut-être qu’au fond nous étions peut-être bien plus que deux filles vivants dans la même maison mais bien des sœurs qui devaient se serrés les coudes face à l’autorité parentale que nous recevions. Ce qu’elle devait éprouver pour moi, autre que de la pitié, était réciproque. Une réelle affection c’était emparée de moi pour se déposer sur les épaules de l’aînée. Je l’appréciais. Beaucoup mais je ne trouvais pas le moyen jusqu’à là de le montrer. Pour en finir avec mon nom de famille Cador est le nom de mes parents biologiques qui m’ont abandonné malgré eux lorsque j’avais 12 ans. La famille Duma, de voyage à Cornouailles ont entendus le problème de mes parents et ils m’ont adoptés à ce moment-là. Depuis je n’ai plus vu mes parents, mais je savais très bien que nous pouvions nous en sortir tous les trois. Mais il fallait que je travaille et ils n’avaient aucune envie que je le fasse, alors ils m’ont laissé dans les bras de parfaits inconnus qui, à ce moment-là de mon existence m’offre tout ce que j’ai besoin même si la violence ne faisait pas partie de leur accord. Après tout, comment mes parents, Carmen – ma mère - et Moch – mon père -, pouvait le savoir ?

partie deux. « Dwight. » fit l’homme d’une voix muée qui c’était approché de moi à la fin de la prestation d’un groupe que j’avais à peine écouté tellement intéressée par mon cour de droit de la veille. Je levais légèrement la tête par politesse. J’eus un léger sourire lorsque je compris qu’il me fixait avec sa cigarette qui laissait une mauvaise odeur. « Bien et que veux-tu que je fasse pour toi ? » demandais-je avec hostilité. Je n’aimais pas qu’on m’interpelle de cette façon lorsque je suis absorbée par une lecture. C’est comme si on m’explosait cette bulle autour de moi. « Ton prénom. » je pouffais de rire, il avait l’air sérieux même si on pouvait lire un léger sourire hautain sur ses lèvres. Il écrasa avec méchanceté la cigarette qu’il venait de fumer, je regardais chacun de ses mouvements comme si j’avais l’impression qu’il était unique. La situation était exaspérante, alors je finis par répondre avec gentillesse même si je détestais donner mon prénom, mon nom, mon âge, mon adresse ou quoi que ce soit à un parfait inconnu. Non, pas si inconnu que ça, guitariste dans un groupe de rock à l’Elvis qui vient de jouer ce soir pendant la fête de quartier. Facilement repérable au vu de son style bien marquer. « Lennon. » Il hocha la tête. Depuis le début il m’observait de ses yeux bruns qui me donnaient les frissons. J’avais envie de partir au plus vite mais je ne le fis pas. Continuant de le regarder avec simplicité il me donna la bière qu’il avait dans les mains et me susurra des mots que je ne comprenais pas. De l’Allemand au vu des mots, de l’accent. Était-il Allemand ? Non, il n’avait pas l’apparence d’un Allemand. En fait qu’est-ce que je m’y connais. Et il partit, sortant une seconde cigarette et marchant sans se retourner je contemplais ses bouclettes rebelles un léger sourire aux lèvres. Cependant, alors que toute personne normalement constitué se serait posé des questions, juste par curiosité la plupart du temps, c’était le trou noir pour moi. Complètement.