« Blair Jessica Cooper.»

NOM(S) PRÉNOM(S)৩ Blair Jessica Cooper AGE ৩ 24 ans DATE & LIEU DE NAISSANCE৩ New-York STATUT ৩ En couple ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE৩ Directrice d'un magazine de mode STATUT FINANCIER৩ AiséGROUPE ৩ écrire ici AVATAR ৩ Blake Lively

Qualités


Gentille


Attentionnée


Franche


Souriante


Drôle



défauts

Capricieuse


Diva


Jalouse


Trop amoureuse


Charmeuse

« give i everything »

→ Elle à été repérée à l'âge de dix ans pour être mannequin et tourné dans quelques publicité, un métier qui la toujours fait rêver mais ses parents l'en ont empêchée une chose qu'elle a beaucoup de mal à pardonner puisque c'est une chance que l'ont offre qu'une fois dans une vie.

→ Elle est née à New-York mais à vécu la moitié de sa vie à Londres où elle fera également ses études dans la prestigieuse université de St-Andrews. Sa période d'études fut celle qu'elle apprécia le plus, car la première année elle a vécu dans le campus avec des amies et la deuxième et troisième année elle vivait dans un appartement avec des colocataires proche de l'université.

→ Elle est rapidement devenue indépendante en ne comptant jamais sur ses parents, puisqu'ils n'était jamais là, toujours en voyage ou au travail. Elle a très souvent été placée chez sa grand-mère dans le nord de la ville ou alors c'est la nurse qui s'occupait d'elle.

→ À St-Andrews, Jessica étudia l'histoire de l'art, l'histoire, la littérature et le français. Elle ne savait pas encore ce qu'elle voulait faire exactement mais elle savait que sa se situerais dans l'histoire puisqu'elle en était passionnée le français à seulement été pris car le professeur était très mignon et la littérature car son père la inscrite de force.

→ Après la fin de ses études, Jessica commença un stage dans un magazine de mode à Londres avant d'être envoyée à New-York pour continuer son stage, la mode l’intéressait énormément mais ce magazine ce n'était qu'une dictature et de l'esclavage mais elle savait que avec un papier de cette réputation elle pourrait avoir un très bon métier. Et maintenant à Oxford elle veut lancer son propre journal

« chapter one.»

« Allez dépêche toi on va être en retard en cours »
« J'arrive, J'arrive. »
« Jessica ! si on est virées du cours sa sera de ta faute. »
« Mais non, je te dis qu'on sera à l'heure »

Courant dans les couloirs, j'essayais d'enfiler mon uniforme, ça devait être le seul inconvénient d'être en université à Londres c'était l'uniforme obligatoire. Arrivant finalement à enfilé cette cravate et la chemise qui va avec que finalement ma colocataire avait raison nous sommes arrivée en retard de quelques minutes. Rentrant dans la classe je me plaçais directement vers le fond de la classe pour pouvoir continuer mon sommeil auquel l'ont m'avait arraché. Pourtant j'essayais de lutter pour ne pas poser ma tête sur mon livre, la littérature n'était vraiment pas mon truc cela ne m’intéressait pas du tout par contre ce qui me motivais c'était mon prochain cours celui de Français, parler cette langue n'était pas dans mes priorités mais le professeur était vraiment très, très mignon voir magnifique et parfait et dans ce cours il y a bien plus de fille que d'hommes. A la fin du cours de Littérature toutes les filles se précipitaient vers la salle de Français sauf moi ou je me dirigeais discrètement vers les toilettes de l'étage, à peine j' eu fermer la porte que je sentais ses mains sur mes épaules

« Bonjour toi. »
« Chère professeur vous m'avez manqués. »
« Toi aussi mon cœur. »
« Tu sais que j'adore ces moments comme ça »

Me retournant pour lui faire face je passais mes bras autour de sa nuque avant de l'embrasser tendrement, puis-j'éclatais de rire en pensant à toutes ces filles qui bavait sur lui, après tout il était le plus jeune prof de l'université puisqu'il était âgé de vingt trois ans. L'embrassant une nouvelle fois avant de rompre le baiser puisque quelqu'un voulait entrer dans les toilettes courant se réfugier dans une cabine je souris tendrement devant ce professeur qui était également mon petit. Quand la voie était libre nous ressortions de la cabine.

« Nous allons être en retard. »
« C'est pas grave j'ai pas envie d'aller en cours là. »
« Moi j'en suis obligé tu le sais bien. »
« Comment on fait pour ce soir ? »
« Tu viens chez moi ça sera beaucoup plus prudent que ta chambre sur le campus. »
« D'accord je passerais me changer et j'irais directement chez toi après les cours. »

« chapter two.»

« VAAAAAAAAA[...]AAAL »

Me mettant à courir dans les rues de New-York, jusqu'au point de l'accident, voyant la voiture de mon frère sur le toit, je me mis à genoux par terre en regardant dans la voiture fermant les yeux mes larmes ne cessait de couler passant une main sur la joue de mon frère je déposant un baiser sur son front avant de me lever et de courir du coter conducteur de la voiture, mon petit-ami qui essayais de sortir de la voiture, passant ma tête sous sont bras en le tirant vers le trottoir ou s'était agglutiné une multitude de personne qui commençait enfin à m'aider. Allongeant Valentin sur le trottoir je remarquais un bout de métal lui transperçait le ventre, essuyant mes larmes pour ne pas l'effrayer je me penchais sur lui et l'embrassais tendrement.

« Je t'aime tu sais »
« Moi aussi, je t'aime tellement, plus que tout.. »
« J'aurais du te le dire avant ça. »
« Tu aurais pu oui mais là c'est un timing. »
« Ne me fait pas rire. Je vais mourir n'est-ce pas ? »
« Je ne sais pas Valentin, je ne sais pas. »

Passant une main dans les cheveux du jeune homme j'essayais de ne pas pleurer mais quand je vis qu'il ne respirait plus que que ses yeux s'étaient fermer plus rien ne me retenait, posant ma tête sur son torse je vidais mes larmes autant que je le pouvais, tout en le serrant dans mes bras avant de finalement me faire soulever par un ambulancier a qui j'ai sûrement du mettre quelques baffe en essayant de me débattre.

« chapter three.»

Il est ma perfection, celui qui me redonne le sourire quand rien ne va. Rien que ça voix me fait aller de l'avant, son absence me déchire le cœur Si ses yeux ne sont pas posé sur moi j'ai l'impression de ressentir un vide de ne pas être pareil. C'est bien clair sans lui je ne suis plus rien pourtant depuis la mort de Valentin mon ex-petit ami je m'étais promis de ne plus ressentir ça, mais tout est différent depuis quelques temps maintenant depuis que j'ai quitter New-York et que je l'ai rencontré tout à été un coup de foudre rien qu'au premier regard j'ai su que c'était lui, lui avec qui j'allais finir ma vie, pour moi c'était clair.

Me trouvant assise sur un banc, un livre à la main. Je regardais ailleurs l'esprit perdu j'essayais de me détendre mais aujourd'hui n'était pas la journée parfaite tellement de chose qui peuvent se passer, des choses dont on ne s'y attend absolument pas. Me replongeant finalement dans mon livre mais je m'y coupa rapidement une nouvelle fois avant de lever la tête vers un jeune homme.

« Je peux m’asseoir avec toi ? »
« Oui bien entendu vient. »
« Merci beaucoup. Je suis Mike et toi ? »

Prise de surprise, je ne m'attendais pas à ce qu'il me parle, je le regardais dans les yeux il devait être le jeune homme le plus beau que j'ai pu voir. Restant la bouche ouverte je lui serra la main avant de fermer la bouche et de baisser les yeux.

« Désolée. Je m’appelle Jessica mais appelle Moi Jess »

Il me serra également la main et après quelques secondes de silence il relança la discussion et nous n’arrêtions pas de parler, sans s'interrompre la journée et soirée passa extrêmement vite; si bien que quand nous avions décidé d'aller boire quelques choses nous nous étions rendu compte qu'il était près de deux heures du matin et qu'il faisait nuit noire.

« Tu veux venir boire un verre chez moi ? »
« Pourquoi pas, après tout j'ai soif et pas envie de rentrer chez moi. »
« Alors vient suis moi. »

Je me souviendrais tout le temps la sensation que j'ai eu quand il ma prise la main pour m'aider à me relever, la façon dont il me regardait. Et une fois que nous sommes arriver chez lui, une magnifique maison proche de la ville. Après être rentrer chez lui, j'enlevais mon manteau posant également mon sac à main par terre avant de le rejoindre sur le canapé. Me mettant à coter de lui, je pris mon verre de vin qui était poser sur la table, avant de trinquer avec lui. Après quelques verres, Mike ne cessait de me fixer dans les yeux ce qui me faisait royalement souffrir et il se moquait tout le temps mon accent très British.

« Tu sais quoi ? »
« Non que sais tu ? »
« J'ai envie de t'embrasser. »

Je n' eu pas le temps de répondre quoi que ce soit que je sentais ses lèvres contre les miennes et je n'avais aucune envie de rompre se baiser. Passant main main dans ses cheveux puis sa nuque je le serrais contre moi, avant de laisser échapper une soupire de surprise que je sentis Mike me soulever pour monter finalement les escaliers.